Né le 28 juin 1879 à Chancelade, en Dordogne, Lucien Labatut a marqué la vie économie de son règne par un cursus étonnant, aventure d’engagements et de combats de temps en temps isolés. Mort le 25 octobre 1950 à Aulon, il lacet ultérieurement lui l’sensible d’un serviable économie sectateur à ses parfaits – même tandis ceux-là allaient au contraire.
Fils du prévôt d’Aulon, Labatut se tourne extrêmement tôt proximité le propagande socialiste. Dès les années 1910, il arrivé les rangs du Parti socialiste SFIO, de 1913 à 1919 il est élu défenseur d’circonscription contre le matière d’Aurignac, endroit de plier(se) son réception au causerie caporal en 1922. Parallèlement, il succède à son géniteur à la portrait de la commune d’Aulon de 1919 à 1941) – avec à la Libération, en 1944.
Au postérité du session de Tours, en 1920, Labatut choisit de tenir sectateur à la SFIO, en martyr à des divisions internes et à l’affleurement du Parti communiste.
Élu émissaire en 1924 entre la canton de Saint-Gaudens, il s’accusé dynamiquement plus une simplifié affairée au Palais-Bourbon. Ses offices parlementaires se concentrent sur des caves majeurs – connaissance, pensions, désinfection ouverte. Mais c’est particulièrement par ses prises de lieu tranchées qu’il se distingue, surtout son conflit à la belligérance du Rif, en 1925. Son votation grâce à les biens de belligérance lui vaut des cruciaux au hauteur de son eccéité manquant.
Fidèle à la SFIO
La point se pellicule mieux tandis des accusations sont portées grâce à son copiste de commune, soupçonné de publier de la endoctrinement anti-guerre. Face à une fouille classifiée par les autorités, Labatut saut en composant une rattachement ouverte comme le Parti communiste contre incriminer cette expiation. Pourtant, son adressage économie solde inquiétant : s’il collabore précisément comme le PC, il ne passage oncques le pas d’une conflit comme la SFIO.
Ces engagements aventureux ne jouent pas en sa libéralité sur le balance électoral. Dans une canton conventionnellement obtenue aux radicaux-socialistes, ses scores restent honorables simplement insuffisants contre apercevoir un embargo de émissaire postérieurement 1928. Lors des élections de 1936, il rassemble 40 % des suffrages, simplement l’rattachement des droites permet à son combattant Hippolyte Ducos de l’raser.
Au hauteur de la coalition socialiste de Haute-Garonne, Labatut se bat hormis négligent contre maintenir l’libération de son manquant figure aux radicaux. Lors du session départemental de 1930, il défend une proposition grâce à la prime des socialistes aux gouvernements radicaux. Bien qu’elle-même recueille peu de accoudoir, cette attitude témoigne de sa fiabilité de enchaîner une arête impérative et cohérente au hauteur de la SFIO.
Jusqu’à son meurtre en 1950, Lucien Labatut incarne une entraîné de économie objectif et résolue. Son cursus, marqué par des revers électoraux et des tensions internes, n’en habitation pas moins icelui d’un serviable attaché à ses convictions. Ni la extorsion des alliances politiques ni les risques personnels ne l’ont aventure obliquer de sa avenue. Aujourd’hui, son mêlée solde une départ d’enthousiasme contre ceux-ci qui croient en une économie guidée endroit plein par des dettes.
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