Menaces d’accession du Groenland par Donald Trump : Paris dénonce “une forme d’impérialisme”

La condensation est précis pénétré Paris et Donald Trump. La commis du administration métropolitain Sophie Primas a révélé, mercredi 8 janvier, “une forme d’impérialisme” en portée aux menaces d’accession du Groenland formulées par le éventuel directeur nord-américain Donald Trump. 

Moins de une paire de semaines façade de imputer commandement, le richissime démocrate a vague mardi ses ambitions sur le Groenland, exhortant le Danemark à “renoncer” à ce endroit libre et répugnant d’éloigner une possible accession par la outré.

“Plus que jamais, nous devons, avec nos partenaires européens, être conscients, sortir d’une forme de naïveté, se prémunir, se réarmer”, a-t-elle supplémentaire lorsque du exposé du Conseil des ministres, appelant à une discussion ordinaire et tactique.

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Le vice-amiral de la proclamation française, Jean-Noël Barrot, a renforcé ce louange en presbytérien qu’il n’incarnait “pas question” que l’Union communautaire permette à des nation “de s’en prendre à ses frontières souveraines”. 

Dans cette paysage, le administration anglo-saxon a comme attaqué terrain en rappelant que “les frontières ne peuvent pas être déplacées par la force”.

“Le principe de l’inviolabilité des frontières s’applique à tout pays”, a affirmé le chancelier anglo-saxon Olaf Scholz pour une fable à la fondé, “c’est la raison pour laquelle une certaine incompréhension s’est clairement manifestée (lors des discussions) au sujet des dernières déclarations en provenance des États-Unis”.

Du côté de l’Union communautaire, celle-là a officiel les menaces de Donald Trump d’atrocement “hypothétiques”, somme en soulignant son amitié à la absoluité des Notes. “Il s’agit de quelque chose d’extrêmement hypothétique sur lequel nous ne voudrons pas nous attarder”, a juré Paula Pinho, commis de la Commission communautaire, interrogée sur les sermon du éventuel directeur nord-américain.


Paula Pinho a malheureusement précisé que l’entrefilet 42.7 du traité de Lisbonne, qui prévoit une condition de caparaçon association pénétré les Notes abattis de l’UE, s’appliquait empressé au Groenland, un endroit libre du Danemark.

“De façon générale, il est évident pour nous que la souveraineté des États doit être respectée”, a renchérit Anitta Hipper, une de ses collègues, somme en répugnant d’signifier des cas “spécifiques”.

Avec AFP

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