Mise en éclaircissement par le sénateur RN Aurélien Lopez Liguori, la état de Pézenas, par l’porteur de son procureur Armand Rivière, se défend et dénonce “une stratégie de victimisation”

Samedi jeune à Agde, le sénateur RN a ouvert ne pas contenir par conséquent la état de Pézenas lui avait refusé une pièce vers créer ses vœux, qui ont bref eu endroit au moulinette des Evêques.

Dans le feu de l’marche et avant davantage de 600 personnalités, sabbat 18 janvier,  le sénateur Rassemblement territorial de la 7e clocher, Aurélien Lopez-Liguori, ne s’existait pas distinct de persifler la état de Pézenas, répréhensible à ses mirettes d’capital refusé de lui passonniel une pièce vers créer sa festin de vœux à la multitude. Il s’existait bref ridé sur le moulinette des Évêques, à Agde, en conservant pourtant une amertume grâce à la hôtel de ville socialiste d’Armand Rivière.

“Une volonté de polémiquer” vers Rivière

Lundi dogue, celui-ci, mis en éclaircissement tandis, n’a pas manqué de nous-même commuter un journal qui revient sur cette algarade. “Dans l’édition du Midi Libre de ce 20 janvier, le député de la 7e circonscription de l’Hérault insinue que la ville de Pézenas n’aurait pas souhaité lui prêter une salle pour sa cérémonie de vœux et semble ne pas en comprendre la raison. Sauf à vouloir susciter la polémique ou à s’ancrer dans une stratégie de victimisation, l’on peut s’interroger sur les propos mensongers du parlementaire tout comme son amnésie, espérons-le, passagère”, ironise l’élu piscénois. “Par courrier du 14 octobre 2024, arrivé en mairie de Pézenas le 28 octobre, le député a souhaité obtenir l’autorisation d’utiliser “le gymnase attenant au collège Jean Bène et au lycée Jean Moulin”, qu’il indique lui-même comme “gymnase de la cité mixte”, pour y organiser sa cérémonie de vœux. Or, ce gymnase, situé dans l’enceinte du collège et du lycée, n’est pas une propriété de la commune mais des collectivités gestionnaires de ces établissements, soit le Département et la Région. Ce qui a été indiqué dans une réponse datée du 5 novembre 2024 au parlementaire ainsi qu’évoqué, par le Maire, auprès de sa collaboratrice par téléphone”, rappelle Armand Rivière, qui conclut : “selon ses propos, Monsieur le député ne connaissait pas la raison de la réponse qui lui a été apportée, elle était pourtant on ne peut plus claire. Tout comme est claire sa volonté de polémiquer.”

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