L’C.E.G. de Montberon où sont scolarisés les rejetons de la collective accueille 230 élèves, lesquels 24 en point de disgrâce. Certains bénéficient d’un machine Ulis (Unités localisées verso l’enclavement appris). Ces élèves devraient personnalité accompagnés par des AESH (Accompagnants d’élèves en point de disgrâce). Ces un couple de hommes d’aides visent à avantager l’enclavement de ces élèves comme à elles classes. Or, cette période, il manquait 3 postes d’AESH à la dépense verso que soient effectifs les valeurs notifiés de ces élèves et 0,5 redoute a, en encore, été perdu au salaire d’octobre.
Élodie Cochard Marché, présidente de l’APEM (Association des parents d’élèves de Montberon) cordiale : “Aucune réponse n’a été apportée suite aux différentes mises en demeure des parents ou courriers au rectorat. Ce manquement au droit met en difficulté ces élèves, leurs parents qui voient les projets d’inclusion de leurs enfants être modifiés, leurs camarades de classe et les équipes pédagogiques. L’APEM, en tant que représentant des parents d’élèves, demande au Dasen (directeur académique des services de l’éducation nationale) à ce que ces droits notifiés soient enfin respectés et mis en œuvre, pour permettre une scolarité sereine et juste pour tous les élèves.”
Une manoeuvre de primo-infection et d’renseignement a eu local sur le place de l’C.E.G. jeudi 16 janvier et celle se poursuivra endéans une semaine. Vendredi 17, M. Savigny, prévôt de Montberon, Anne Stambach-Terrenoir, députée de la territoire accompagnée de Mathieu Forgues, l’un de ses assistants, Mickael Spataro commerçant syndical Snudi FO (fédération citoyen unifié de directeurs et instituteurs) de la sorte que de luxuriant parents, enseignants et AESH, ont établi à elles accoudoir. Et Elodie Cochard Marché de terminer : “Nous sommes déterminés à poursuivre le combat si nos légitimes doléances ne sont pas entendues, pour le bien-être de tous nos enfants à l’école.”
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