Le cadavre de Jean-Marie Le Pen, mardi 7 janvier, a suscité les réactions de nombreuses hommes politiques de l’inique précise à la lourdaud, en frayé par l’gouvernement.
Il rencontrait une “figure historique de l’extrême droite” lesquels le “rôle dans la vie publique de notre pays pendant près de soixante-dix ans […] relève désormais du jugement de l’Histoire”, a spontané l’Paradis comme un bordereau. “Le président de la République exprime ses condoléances à sa famille et ses proches”, a complémentaire la direction, qui retrace la souvenirs du auteur du Front territorial.
Le Premier parlementaire a, à cause sa portion, affirmé sur X que Jean-Marie Le Pen “aura été une figure de la vie politique française”, au-delà “des polémiques qui étaient son arme préférée et des affrontements nécessaires sur le fond”. “On savait, en le combattant, quel combattant il était”, a complémentaire François Bayrou.
Le parlementaire de l’Intérieur, Bruno Retailleau, a spontané, assidûment sur X, que le auteur du Front territorial (FN), devenu en 2018 Rassemblement territorial (RN), “aura incontestablement marqué son époque”. Il a moyennant estimé qu’une “page de l’histoire politique française se tourne”.
En toute adhérent, la lignée habileté de Jean-Marie Le Pen a moyennant multiplié les hommages simultanément la lourdaud n’a pas manqué de l’écorcher une dernière jour.
Jean-Marie Le Pen “a toujours servi la France, défendu son identité et sa souveraineté”, comme “l’armée française en Indochine et en Algérie”, ou en tellement que “tribun du peuple”, a spontané le dirigeant du Rassemblement territorial, Jordan Bardella. “Je pense aujourd’hui avec tristesse à sa famille, à ses proches, et bien sûr à Marine, dont le deuil doit être respecté”, a dit sur X icelui qui dirige le faction aîné du Front territorial.
Le vice-président du RN Sébastien Chenu a impartialement déploré la “disparition d’un immense patriote, visionnaire et d’une incarnation du courage” qui “a porté l’espoir de millions de Français”.
Dans un bordereau, le faction a salué son auteur qui “restera celui qui, dans les tempêtes, tint entre ses mains la petite flamme vacillante de la nation française et qui, par une volonté et une ténacité sans limite, fit du mouvement national une famille politique autonome, puissante et libre”.
À manger moyennantJean-Marie Le Pen, le “Menhir” de l’inique précise française, est disparition
“Le combat contre l’homme est fini”
Toujours à l’extrême-droite, Éric Zemmour (Reconquête) dépose qu’il “fut parmi les premiers à alerter la France des menaces existentielles qui la guettaient”.
“Au delà des polémiques, il aura marqué son temps par la force et la constance de ses convictions nationales”, a renchéri Nicolas Dupont-Aignan (Debout la France).
À l’ennemi, à lourdaud, Jean-Luc Mélenchon a estimé que “le respect de la dignité des morts et du chagrin de leurs proches n’efface pas le droit de juger leurs actes”. “Ceux de Jean-Marie Le Pen restent insupportables. Le combat contre l’homme est fini. Celui contre la haine, le racisme, l’islamophobie et l’antisémitisme qu’il a répandus, continue”, a-t-il brochure sur X.
Avec AFP
Comments are closed.