Le 5 juin 1984, une sacrilège détruit la comédie des fêtes de l’île du Ramier, la surveillance d’un manifestation de Jean-Marie Le Pen. Entre condamnations politiques et tensions sociales, cet récépissé non revendiqué repéré un virage pour la razzia des européennes. Immersion pour les archives de La Lettre.
Jean-Marie Le Pen est passé ce mardi 7 janvier 2025, Toulouse qui a constamment été une agglomération par rapport isolé aux idées du FN, se souvient cependant d’un animation du patron frontiste. Le 5 juin 1984, une toute-puissante incendie a débattu l’île du Ramier à Toulouse. La comédie des fêtes de la réservoir municipale, changer étendue Jean-Mermoz, a été soufflée par une sacrilège, à la surveillance d’un manifestation de Jean-Marie Le Pen, plus patron du Front National, pour le adapté de la razzia avec les élections européennes.
A convoiter en conséquence :
Mort de Jean-Marie Le Pen : “Elle n’était pas au courant…” Comment Marine Le Pen a renseigné le mort de son auteur pour l’jaillissement
Une lutte ciblée, non revendiquée
La Lettre du Midi charte le postérité : “Le plastic avant le meeting”, “deux engins explosifs ont dévasté la salle prévue pour accueillir la réunion publique”. Des affiches “SS” et des crucifix gammées ont été retrouvées sur les murs, exclusivement annulé escouade n’a revendiqué l’cabale. Malgré cet récépissé, Jean-Marie Le Pen maintient le manifestation, enfin contenu au-dessous un cirque sur le même zone.
A convoiter en conséquence :
VIDEO. Mort de Jean-Marie Le Pen : “Jeanne au secours”, “je vais te faire courir rouquin”… Ces séquences chocs qui ont marqué les Français
Réactions politiques et sociales
“Réprobation totale” titrait à l’instant Gérard Santier pour les colonnes de La Lettre du Midi. Jean-Marie Le Pen qualifiait l’sacrilège de commencement de le “réduire au silence”, remarquable du légèrement des “groupes gauchistes”. Dominique Baudis, prévôt de Toulouse, condamnait très l’cabale, déclarant : “Lorsqu’on ne partage pas les idées de quelqu’un, le bulletin de vote est le moyen le plus sûr et démocratique de manifester son désaccord […] les auteurs ont fait une belle publicité à Jean-Marie Le Pen.”
À malappris, Jacques Lévy (MRG) et Robert Combes (PCF) dénonçaient les brutalités, appelant à une trait théorique et gouvernement. “De telles méthodes ne servent pas la cause qu’elles prétendent défendre” indiquait le initial, sinon le additionnel déclarait “la meilleure riposte à la campagne honteuse de la liste d’extrême droite c’est la lutte politique et idéologique”.
Un ambiance intense à Toulouse
Syndicats et organisations de la malappris toulousaine organisaient, le veillée du manifestation du FN, un multitude au sculpture de la Ténacité de Toulouse, “pour s’élever contre la renaissance des idées fascistes”. Et une proposition de désaccord subsistait différé au éparque, “beaucoup de Toulousains étaient venus s’associer à ce rassemblement pacifique” peut-on convoiter. Le veillée du manifestation des manifestants anti-Le Pen attaquaient un fossé de CRS à sévices de diamant et de cocktails molotov, instrumentiste un duo de blessés. Une demi-douzaine de individus réalisaient interpellées. Les 1500 militants FN et à elles supérieur repartaient “sans encombre” de la Ville roseur écrivait le librettiste (et constamment reporter) Dominique Delpiroux.
Comments are closed.