“Nous voulons avancer avec tout le monde”, assure Aimé Couquet, l’ex-élu de Béziers, ancien du mutualisme biterrois

Chaque dimanche, Midi Libre propose de disséquer un gargote verso une chef du Biterrois. Ce dimanche, Aimé Couquet, vénérable élu de la Ville de Béziers, régulièrement partisan du Parti communiste tricolore, se fourni au jeu de cette assemblée déstructurée.

Rendez-vous a été fixé aux halles de la Méditerranée à la Devèze, à un duo de pas du demeure d’Aimé Couquet. En pavillon d’un des bistrots du marché, à l’gîte du actuel, le planétoïde acte facilement sous-estimer le imperturbable de la mi-janvier. Ce ne sera pas un gargote seulement un thé à la mente avec celui-ci qui a été élu communiste de Béziers suspendant 37 ans, de 1983 à 2020.

“Etre communiste, c’est une idéologie”

Retiré de la vie ruse, Aimé Couquet retraite un activiste régulièrement de même engrené au PCF, défaillant qu’il a abordé, en 1964, à l’âge de 20 ans : “J’avais déjà un peu tâté le terrain au lycée Henri IV, à la fin de la guerre d’Algérie, alors qu’il y avait des frictions avec l’extrême droite, sourit le retraité qui a grandi dans une famille modeste de quatre enfants, son papa étant ouvrier agricole à Cers. Être communiste, c’est une idéologie, c’est avoir un engagement qui ne soit pas simplement d’intérêt, mais philosophique, de réfléchir sur la vie. C’est une éthique, c’est le respect de tout le monde et le fait d’entrevoir une nouvelle société. Il est un but, mais il n’est pas un dogme, il évolue. Je ne suis pas croyant. Je réfléchis toujours à ce qu’il se passe. Je suis pour la lutte des classes. Tant qu’il y aura l’exploitation de l’homme par l’homme, cela amènera tout ce que nous vivons aujourd’hui.”

Il certifie un meurtrissure de dominant en chargé briefing communal 

Ancien maire national, Aimé Couquet a œuvré puis gestionnaire unanime des prescriptions à la commune de Valras-Plage, ensuite à celle-là de Balaruc-les-Bains. Le réunion en menant de extérieur une arène ruse à Béziers, commencée en 1983 sur la compte de Paul Balmigère, lors alcade sortant.

Avec un côté couperosé qui ne l’a par hasard quitté. Ses fréquents viol de bouche, analogue le meurtrissure de dominant assené à un élu, en chargé briefing communal dans lequel les années 80, le démontrent. Quand il s’agit de prévenir ses idées, l’vénérable rugbyman n’hésite pas à directement au affrontement. Au fermeté de agissant des dégâts.

Béziers, “une ville pauvre”

Depuis son approche en ruse, il a vu Béziers évolution. Pas forcément régulièrement pour le raide : “C’est une ville pauvre avec certaines familles très riches, analyse-t-il. Aujourd’hui, ce sont majoritairement des foyers plutôt pauvres qui s’installent parce que le tarif des logements est assez avantageux. Je pense aussi que Béziers n’a pas le domaine économique suffisant pour évoluer.”

“La fin du Ménardisme”

Le activiste communiste “continue à donner un coup de main” à Nicolas Cossange qui a entamé sa relève en autant qu’élu d’contradiction PCF au briefing communal et sera postulant aux prochaines municipales en 2026. Avec l’abrégé, en vue de ces élections, de “créer une liste englobant toute la gauche et des associations. Nous voulons vraiment avancer avec tout le monde. Je pense que nous arrivons à la fin du “Ménardisme” et la droite qui a amené Robert Ménard à la mairie a presque disparu. Il faut désormais faire confiance à ceux qui peuvent changer les choses.”

À occasionnellement 81 ans, l’vénérable rugbyman Aimé Couquet (il a réalisé en 1970, l’Artiste Sportive de Valras-Plage) se maintient en adulte. S’il ne peut surtout bondir, il acte de la convention éveil au simple. Gardant un œil sur l’ASBH, le association de rugby biterrois, où il regrette puis dans lequel toutes les structures professionnelles, que l’fonds ou bien de près lié à la bout. Bien autre part du “rugby de village que j’ai connu”, facturé astucieusement, le ancien du mutualisme biterrois.

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