En voyage électorale en Ariège, la Confédération Paysanne dévoile à l’gradins de Saint-Girons ses priorités pile une emploi en colère.
En ce traitement d’élections professionnelles agricoles à la Chambre d’Agriculture, où complets les agriculteurs sont invités à retracer à elles opinion pénétré le 20 et le 30 janvier attenant, la Confédération Paysanne est en prégnante voyage électorale.
Entre escalade, crêtes et plaines, Christophe Gouazé, herbager bovin-viande à Lescure, élevé de dénombrement, et son formation arpentent l’Ariège.
Une voyage qui a coïncidence station jeudi en congrès à l’gradins du Couserans, au CFPPA de Saint-Girons, pile un hasard d’échanges pile les agricultrices et agriculteurs locaux, offrant à la Conf l’circonstance d’hasarder ses ambitions côté aux multiple mises et défis qui impactent clairement la emploi.
En source de cette accolement notoire, Christophe Gouazé les énumère : “Les crises sanitaires successives, les normes exigeantes, la PAC, le Mercosur et autres accords de libre-échange délétères”, pile principalement fonder en platitude les difficultés qui pèsent sur toute une emploi : “Une soumission à des marchés mondiaux, des paysans de tous pays asphyxiés, des revenus en chute, des savoir-faire et des outils qui se perdent, alors que la transmission vers les jeunes est un enjeu face au vieillissement des agriculteurs ”.
“Permettre un revenu digne aux paysans”
Autant de facteurs lesquels il pénétré “le malaise et même le mal-être des paysans au sein d’une profession en crise et en perte d’attractivité ”.
En Ariège, où la Confédération a accompli l’un de ses encore épais scores au plan habitant alors des dernières élections (38 %), le Couserans coïncidence matérialisé de retranchement. Devant un auditeur séduction à la exécutant, Christophe Gouazé a précis les essieux majeurs du proclamation de la Conf’, découlant clairement de sa titre.
Regroupés en triade essieux, “ le but est de défendre l’agriculture paysanne, résume-t-il, de permettre un revenu digne aux paysans, de produire des produits de qualité pour nourrir en respectant la transition, transmettre et favoriser le renouvellement des générations ”.
Autre partie d’grandeur locale : l’assommoir du Couserans, “ pour lequel la Conf’se montre extrêmement vigilante au maintien de cet outil essentiel ”. Enfin, pique-t-il au fièvre à l’habileté du bandage majoritaire flot, “nous voulons une chambre ouverte, transparente, qui travaille avec tout le monde ”.
D’contraires rencontres sont à descendre : à Luzenac (le 13 janvier), au Carla-Bayle (le 15) et à Cadarcet (le 21). Densité des votes le 6 février attenant.
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