“On est les derniers” : devanture à l’larcin des géants du gymnique, les salles de culturisme sont-elles vouées à expirer ?

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Concurrencées par les grandes avis alors Basic-Fit et Fitness Park, les salles de divertissement indépendantes à Toulouse peinent à fixer à eux affecté. Ces structures, dans rester dans lequel un marché en complète transmutation, cherchent à se arrêter.

Johan Bescond vient de aboutir sa vernissage date de obligation, ce mercredi austral. Le dogue, ce quadra aux chevelure plaqués en lointain est expéditionnaire dans lequel une prolixe partie. L’bientôt, il se consacre à son action, Essentiel Sport, un dancing de gymnique sur le chaussée Silvio Trentin, à Toulouse. Jusqu’en septembre 2023, ce déité de généalogie accomplissait néanmoins dirigeant de hall de divertissement.

“Nous avons dû quitter le local occupé depuis 2007. À la fin de notre bail, le propriétaire a vendu le terrain à un promoteur immobilier. On s’est installé de l’autre côté de la rue, dans une grande maison. C’est une affaire qui se lance, il faut du temps pour qu’elle marche. J’ai misé sur les cours collectifs pour ce nouveau projet. En attendant, je cumule les emplois”, raconte l’fondateur. Au principalement alcoolisé de son remue-ménage, dans lequel son première souplesse de 1 200 mètres carrés, la hall de culturisme comptait jusqu’à 1 000 adhérents. Après la courroux hygiénique, en 2022, ils incarnaient un peu principalement de 450. Aujourd’hui, ils sont contigu de 250 dans lequel cet quantité de 400 mètres carrés.

Johan Bescond suppose que ses immémoriaux abonnés se sont inscrits dans lequel les Basic-Fit environnants. “On est entourés par cinq clubs de cette marque. L’ouverture de sa première salle proche de chez nous, il y a quelques années, nous avait mis à mal. Après, à chaque ouverture, on perdait des adhérents”, assure-t-il. Selon lui, au mitan des années 2010, la Ville lilas comptait contigu d’une trentaine de salles de culturisme indépendantes. Il en resterait moins de dix. “Le Covid-19 a fait un gros nettoyage. Les plus fragiles économiquement n’ont pas tenu le choc. On fait partie des derniers”, glisse-t-il.

L’attrait minutieux des géants du gymnique

Paradoxalement, les géants du gymnique multiplient les créneaux dans lequel la province. Basic-Fit va en élargir un rafraîchi dancing, le 20 janvier, à Flourens, à une dizaine de kilomètres de Toulouse. La griffe de gymnique à l’avisé pomelo en possède 16 clubs dans lequel la localité. Fitness Park, une clôture de salles de gymnique et de atermoiement en responsable française, en a six dans lequel l’agglomérat.

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Depuis distinctes années, ces franchises phagocytent à eux concurrents indépendants à brutalités d’offres agressives. “Nous avons un modèle d’abonnement flexible offrant le meilleur rapport qualité-prix. De plus, nous avons enrichi notre offre avec plus de 300 clubs ouverts 24h/24 et 7j/7”, nous-même directe Basic-Fit. La griffe hollandaise vénéré qu’il y a “de la place pour tous les acteurs du marché”. “Les consommateurs ont de nombreuses attentes en matière de fitness et il est impossible pour un seul acteur de répondre à toutes”.

Philippe Terral, Professeur et co-directeur du groupe de hypocrisie en sciences sociales amusements et détachement (CRESCO) de l’Université de Toulouse, observe que le marché de la atermoiement en responsable est évaporable. “Les salles de sport doivent constamment se réinventer. Il faut, dès leur lancement, qu’elles intègrent ce “pitonnage” pour espérer perdurer. Les modes vont et viennent”, discours ce anesthésiste. Le sociologue ne croit pas à la rupture des salles de divertissement indépendantes : “Les blockbusters hollywoodiens n’ont pas fait disparaître le cinéma d’auteur. Certaines activités peuvent être spécifiques et exclusives aux petits clubs. Pour s’en sortir, ils doivent se démarquer avec un concept singulier. Celui qui ne propose que des prestations similaires à celles des grandes enseignes se fera avaler par ces dernières”.

Johan Bescond vénéré que l’extérieur anthropomorphique est l’chance administrateur des petites structures. “Un jour, les gens vont avoir ras-le-bol des grands clubs. Ils voudront de la proximité et de l’encadrement”, deviné le dirigeant d’Essentiel Sport.

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