
Face à la pillage, à l’danger grandissante et à la concours des cigarettes espagnoles, les buralistes du Lot tirent la bélière d’apeuré. Ce lundi, ils se rassemblent à Cahors moyennant requérir les élus et indiquer une particularité qui provocation l’descendance de à elles usines.
Les buralistes fument de dépit. Ce lundi, nombreux d’parmi eux vont se ameuter front la Comédie, à Cahors. De fourmillant élus, maires pourquoi que les députés sont conviés à ces réunions. Ces dernières ne se font pas de bon cœur. “Ce mois-ci, j’ai perdu entre 10 et 15 % de mon chiffre d’affaires”, ballonné David Le Trouher, manageur d’un assemblée de brunâtre à Saint-Céré. Comme bon masse de ses collègues. Voici les raisons sommet cette exhalaison noire.
Le marché similitude, une “distorsion au niveau du commerce”
“Cela commence à arriver dans le Lot, dans nos petites villes et nos villages. On s’aperçoit qu’il y a un commerce illicite dans certaines fausses enseignes, comme des kebabs ou des épiceries de nuit. Il y a des ventes interdites : certains commercialisent des cartouches de contrefaçon ou venant de pays étrangers. Cela crée une distorsion au niveau du commerce”, regrette Thierry Scheid, directeur de la fédération des buralistes en Occitanie, de la association lotoise et commandant d’un brunâtre avidité à Cajarc. Ce inédit plant : “Il y a également de la vente dans la rue. Sous couvert de santé publique, on nous interdit de vendre à des mineurs. Mais où croyez-vous qu’ils s’approvisionnent ?”
Ce inédit met des chiffres en préalablement : 43 % de la apéritif française de brunâtre est faite fors des assemblées de brunâtre. Dans l’Hexagone, sept entreprises de pillage de brunâtre ont été démantelées, laquelle une familier de Toulouse. Le transitaire en brunâtre fustige : “On perd notre rémunération, on met nos commerces en danger.” Le attroupement de ce lundi est tandis discipliné moyennant émouvoir les maîtrises publics sur cette particularité, qui “ne peut plus durer”.
L’danger
“Il y a une insécurité grandissante. Ils rentrent en pleine journée pour piquer quelques cartouches. Je ne veux pas qu’un exploitant de bureau de tabac se fasse tuer !”, indique Thierry Scheid.
A annihiler quant à :
Braqué parmi son brunâtre à Cahors : « Je veux me ballotter moyennant ne pas convenir apprêté »
En avril inédit, un manageur de brunâtre cadurcien s’est incident guider en achevée naissance.
La concours espagnole
“Avant, quand on descendait en Espagne, on avait le droit à une cartouche. Puis, un décret (publié en mars 2024 – NDLR) a fait sauter le verrou concernant l’achat de cigarettes dans l’UE. Mais très vite, un autre décret a posé une nouvelle limite : quatre cartouches par personne”, décrit David Le Trouher. Pourtant, conformément lui, les masse pensent plus qu’il n’y a pas de valeur-limite imposé. “Certains de mes clients, cela fait trois ou quatre mois que je ne les vois plus. Et ce sont des gens qu’on ne reverra plus”, s’exaspère-t-il. La distinction de cherté est pareille en tenant l’Espagne qu’il est quelquefois principalement bienfaisant d’y chiner son brunâtre, essentiellement simultanément on populeux familier de la borne. En France, le charge de cigarettes est à 12,50 euros comme brutalement 6 euros en terres hispaniques. “Il faudrait que les douanes fassent plus de contrôles. Nous, on prend une amende si on sert un mineur, il faut que ça marche dans les deux sens”, avalisé le concessionnaire de cigarettes.
Et un fidèle qui ne rentre principalement moyennant chiner ses cigarettes ne consomme néant d’distinct. “Quelqu’un qui vient acheter son tabac, il va faire un tour côté presse, il va regarder la carterie… S’il ne rentre plus pour ça, il ne viendra pas dans le magasin pour autre chose”, indique David Le Trouher. Une prodigalité de clients, et tandis de caractère d’tenue. Thierry Scheid conclut : “Tous mes collègues commencent à être en difficulté. On veut conserver nos commerces de proximité. 50 % de mes clients sont fumeurs, alors si on m’enlève le tabac, je ne survis plus !”
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