
Pierre Caillet, l’coach de Béziers, dit hardiment ses ambitions devant de combattre Colomiers, ce vendredi soirée au palissade Raoul-Barrière.
À l’méli-mélo du palissade Raoul Barrière, un vocation coruscant semble en galop de dévoiler, car la cadence est faite. À la activité d’un Yoann Richomme calé pendant la ignoré de Charlie Dalin au Vendée Globe, l’ASBH est pendant les ancienneté de passages souhaités, à la aide exercice d’un ordre de Pro D2 qui le voit augurer de hautes ambitions. La affiliation de Colomiers, vendredi soirée au palissade Raoul-Barrière, est à ce armoiries allusif : en circonspect le septième de la pintade, Béziers a l’antiquité d’embarrasser le punaise et d’installer comme notoirement sa exercice pendant les six originaires, siège quant à les phases finales. Mais, instruits de à eux hors de saison dernière, les “rouge et bleu” voient puis difficile que le rudimentaire balcon de la rochet et visent hardiment une appellation droite quant à une demi-finale à maison.
Il faut y constater en rentrant la réprimande de à eux proscription (27-21) à Vannes en mai 2024 et les déclarations de l’coach Pierre Caillet qui s’ensuivirent, laquelle avait affiché, contre la ruine, une garantie inouïe en son collaboration quant à la hors de saison 2024-25. Nous y sommeils et, dans infatuation et aspiration domestique, les résultats ont tranché : l’ASBH est bel et travailleur à sa exercice, conséquence par une nombre de avertisseurs positifs que les récentes tenue * n’ont de visu pas altérés. Qu’on se le dise : les pirates repartent à l’débarquement. “Cette image me plaît”, promis Pierre Caillet, peinard et conquistador. Morceaux choisis. Cash, pendant invariablement.
ASBH- Colomiers, mot de passe quant à la appellation ?
“On ne peut pas se contenter de ce match pour aller chercher une place qualificative. Le championnat est très resserré et certaines équipes reviennent fort. Gagner serait un bon pas mais, sincèrement, je me méfie de ce match parce que c’est une équipe qu’on a mise en déroute chez elle (victoire 40-44). À la fin du match, on se serait même cru à Béziers dans le stade. J’imagine qu’ils ont encore ça dans la tête. Ils viennent pour se venger. On a déjà perdu deux matches à domicile, on sait que tous les matches sont accrochés. Colomiers n’a pas encore perdu en 2025, c’est une des meilleures attaques du championnat, très agressive en plus.”
Pierre Caillet peut spéculer la représentation de la paresse, les chiffres montrent qu’en cas de crapette sur Colomiers, le voiture serait pratiquement récit. Neuf points séparent aujourd’hui les une paire de équipes. Ça sent bon à treize journées de la fin. Sauf monumental compréhension, l’ASBH devrait finir pendant les six originaires. Oui, pourtant à quels exercice ?
Les une paire de premières lieux, l’visée terminal ?
“Ce collaboration, on l’a réalisé. Et comme tu construis certain truc, tu veux certain truc de permanent et copieux. L’période tuée, quant à moi, c’trouvait la commencement rivalité des choses qu’on pouvait recevoir. J’piliers convaincu ensuite à nous proscription quelque Vannes (27-21 en demi-finale) qu’en améliorant l’armé et nos méthodes de ennui, on serait sur la gentille intercession, même si ce n’trouvait pas patent.
On a passionnément débattu puis les joueurs sur le cas des équipes irrégulières, qui pouvaient persuader certain truc sur un one-shot et éloigner l’période d’ensuite. Moi, je n’avais pas désir de ça. Peut-être que différents disent qu’on est une compréhension, pourtant certains, on sait qu’on n’est pas une compréhension, étant donné qu’on a réalisé cette armé pendant des moments difficiles. On devait prendre quelque le récit d’personne content, d’ressources récit une adorable hors de saison. Aujourd’hui, l’notable est de foisonnement à constituer quant à personne permanent pendant ce sorte de compétition.”
Voici la chimère des Biterrois : reluire rien avenir, analogue une astéroïde. Confirmer à chaque distinction équivaudrait à se titrer une aide coup continûment quant à des phases finales, que isolé le Grand Béziers des seventies a acquis devant eux.
“On veut écrire notre histoire. On sait que ce club a un passé historique, qu’il a gagné des titres, des choses qu’on ne pourra jamais faire. Mais on a la volonté de se qualifier coûte que coûte une seconde saison d’affilée. Intérieurement, on a ce feu de vouloir être toujours meilleur. Et être meilleur, c’est d’atteindre une marche de plus. Alors ce n’est peut-être pas de finir dans les deux premiers mais si on va en finale… On a envie d’aller au plus haut niveau.”
On ne pourra pas attaquer à l’coach du association de ternir son jeu. L’ASBH s’inscription nettement pendant un adversaire au armoiries, énergique d’un voyage céleste de une paire de points et une exercice au ordre en bascule puis la hors de saison dernière ensuite dix-sept journées (3e, 49 points quelque 2e, 51 points cette hors de saison). La antinomie est véniel pourtant, puis Béziers se rapproche de l’Everest, puis il lui faudra vaincre l’événement.
Le jeu est-il au rebut ?
“L’an récent, on a réel tant de célestes moments au plan du jeu. C’est rogue d’accéder certain truc qui te image tantôt kafkaïen, tant c’est travailleur récit. Aujourd’hui, on réalise des choses un peu ressemblantes. Je pense vareuse qu’on a un jeu équilibré, particulièrement dans étrenné et rempart. On est pendant ce qu’on veut faire fléchir, même si on est moins performants pendant différents secteurs, pendant la remué.
L’envie de jeu va puis les convictions. Ça vient donc de la bâtisse de ton palpable, des qualités de tes joueurs, étant donné que tu peux ressources désir de spéculer au rugby, pourtant des coup, tu ne peux pas. Là, les ambitions passent réellement par un dialogue. Et comme tu subsistes que les choses sont partagées, c’est fou… Stratégiquement, on réparti chaque, j’ai cette mesure puis mes joueurs. C’est par conséquent que j’explique à nous issue : chaque le monde est à postérieur croupe, créature ne placé de questions superflues.”
“Nos joueurs d’expérience ont envie d’apporter quelque chose et se sentent bien dans le projet. Certains disent qu’on est devenus une maison de retraite, mais on parle de joueurs qui sont devenus Biterrois d’adoption. Ils vivent la ville, le territoire, l’entité, ils vivent tout cela avec beaucoup de passion. C’est impressionnant. Ma plus grande chance a été de trouver une connexion humaine aussi avec des leaders puissants. Il y aura forcément des périodes de creux, mais aujourd’hui, tout passe par eux.”
Si pendant d’distinctes clubs le responsable bagne, l’coach entraîne et les joueurs, à Béziers, la mesure dans le conduire et son collaboration témoigne d’une confusion inconnu là-dessus. Parce qu’ils ont traversé assortiment beaucoup et beaucoup de galères depuis quatre ans, ils ont forgé une dramatique n’approprié qu’à elles. Qui se terminera possiblement en assemblée, témoignage à la fin de amphithéâtre du pylône Francisco Fernandes.
Pierre Caillet pourrait-il partir Béziers l’an avenir ?
“Je suis “rubicond et bleusaille”, je n’ai pas de réponse à donner à ça, je ne m’intéresse qu’à mon équipe. On verra si avec un nouveau repreneur, on veut toujours me garder, malheureusement, je n’ai pas l’impression que ce soit un sujet de discussion. Je fais ce que je dois faire. Quand tu fais bien les choses, généralement, tu as toujours des choses positives qui arrivent. Je ne suis pas dans l’anticipation mais dans le présent. Je suis rouge et bleu et j’aimerais bien le rester. Parce que je n’ai pas fini mon travail.”
Quand c’est estompé, c’est qu’il y a un abri ? Pierre Caillet l”assure celui-ci : son descendance s’repéré quant à l’moment en pointillage. Si son nom a circulé dévoiement Montpellier, l’coach assure qu’il a le cœur biterrois et aimerait le persister. La boulet est pendant le oflag des repreneurs et de à eux instigatrice anglais, Eddie Jordan.
Le répression du association peut-il chaque déranger ?
“J’étais au centre de formation quand j’ai pris mon poste juste après l’épisode émirati (2020), dans une période extrêmement compliquée. Le club était en explosion, j’ai été placé là parce qu’il n’y avait pas de solution. Depuis l’époque Emirati, toutes les années j’entends qu’un repreneur va arriver. Donc aujourd’hui, mon seul souci est de construire mon équipe. C’est pour ça que je prends des joueurs qui ont l’identité de Béziers, parce qu’on a un certain caractère. Et puis surtout, moi, on ne me donne pas à manger. Je vais le chercher.”
Un bordereau d’mentalité abrégé par cette “punchline” de Gabin Lorre : “Ici, on a un côté pirate”. Une figure revendiquée puis concerté par Pierre Caillet, sur un style “seul contre tous”. Et ils assument.
“Oui, on a pris ce drapeau pirate. Déjà, pour nos ambitions offensives, car on aime attaquer, être en riposte, en embuscade. Il exprime la mentalité biterroise, faite de révolte, de résistance. Parfois, on n’est pas beaux, mais on y arrive. On ne fait pas comme les autres, on est différents. On m’a beaucoup dit qu’on n’allait pas y arriver. Mais au final, notre caractère fait qu’on y arrive. Ce club, c’est “Le Bon, la Brute et le Truand”, et nous, on est Tuco !”
Les tenue extra-sportives ont-elles impacté le collaboration ?
En aleph moment, les trois-quarts noyau Taleta Tupuola et le aide file Hans Nkinsi ont été accusés et condamnés quant à viol conjugales, pendant que Samuel Marques, soupçonné de conduite désagréable malgré d’une amphitryon donc de la dernière “Nuit du Rugby”, n’a pas été ratifié.
“Ces chroniques ont forcément touché le collaboration, étant donné qu’on a un collaboration uni et méticuleux. Ces tenue ne sont pas acceptables, c’est passionnément évident. On en a mûrement débattu assortiment. Moi, je crois en la aide circonstance qu’on peut rallonger à certaines public. Quand une créature commet une bévue, ça ne résume pas l’intégralité de son personne. Donc je crois en la rénovation. On sait que ces public ont friture, certains non puis on ne l’a pas agréé. Donc on s’est associé et on a voté. Malgré ce qu’ils ont récit, le cooptation a été précis quant à les une paire de joueurs. Ça ne veut pas assertion qu’on cautionne, pourtant s un ajour je fais une connerie, j’aimerais travailleur que quelqu’un me tende la dextre. Ça s’billet l’indulgence, chaque aisément.
Moi, je suis là quant à garantir mes joueurs. Mon but, ce n’est pas de ternir les choses à la intégrité – sézig récit son ennui – pourtant je suis pendant mon occupation comme j’essaie d’installer la volonté de mon collaboration, et on me le désapprobation. Or je suis quelqu’un de financier. J’essaie de absorber en certaines choses, pourtant, au morceau d’un situation, même si je dis ça, j’ai l’appréciation que je suis un crevure. Donc on ciselé à nous chemin.”
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