
S’il s’est plié en quatre sets frontispice au Britannique Fearnley, le Montpelliérain Arthur Cazaux a coïncidence bavarder de lui donc du second période de l’Open d’Australie.
La ring réalisait de préférence extraordinaire. En truffé biotope de à elles divertissement, le Canadien Felix Auger-Aliassime et l’Espagnol Alejandro Davidovich Fokina ont dû réformer de laconique dans des supporters du Montpelliérain Arthur Cazaux, énormément assez bruyants.
Incroyable : Auger-Aliassime et Davidovich Fokina demandent à réformer de laconique car les supporters d’Arthur Cazaux ud83cuddebud83cuddf7 font assez de matraquage près ! ud83dude05
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— Eurosport France (@Eurosport_FR) January 15, 2025
Une modalités un peu extraordinaire sur à laquelle sont revenus les protagonistes en discussion de empressement. “C’était la foule à côté, mais à la limite ce n’est pas le problème, a expliqué Auger-Aliassime. Eux, ils encouragent entre les points, ils suivent leur match, c’est ok. J’ai dit aux organisateurs : ne mettez pas un match juste à côté, c’est plus que perturbant, ce n’est pas possible de jouer. Je n’ai jamais vu ça au tennis. En plein milieu du point, ça crie comme si c’était sur notre court, c’est impossible. Je leur ai dit il y a d’autres courts de libre, on va attendre.”
“J’adore ça”
De lesquelles payer un peu le rigoler à Arthur Cazaux, qui a puisque réagi postérieurement son rejet frontispice à l’Écossais Fearnsley (3-6, 7-5, 6-2, 6-3). “J’ai appris ça après le match, ça m’a fait un peu rire, surtout que Félix, je le connais bien, réagissait le Montpelliérain. Après mon premier match, il m’a dit : putain l’enfer, j’étais à côté de toi, c’était horrible, tout le bruit”. Et l’Héraultais de continuer en discussion de empressement : “Ce n’est pas cool de la part des organisateurs. C’est assez spécial d’avoir ce genre d’ambiance sur des tournois ATP ou en Grand Chelem. Le public est au taquet sur chaque point. Je ne sais pas à quoi ils tournent les supporters qui étaient là, avec moi, mais c’était impressionnant, l’énergie qu’ils mettaient sur chaque point, que je le gagne ou que je perde, toujours là à me soutenir. J’adore ça, j’aime ce genre d’ambiance, ça me donne énormément d’énergie. J’imagine que ça ne doit pas être évident, je me mets à la place de Fokina ou Félix, je pense que ça me ferait fissurer.”
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