
Une accoutrement en tranquillité des endroits a été faite ce mercredi 22 janvier postérieurement que l’étendard d’un table des halles de Nîmes s’est effondrée sur lui-même. Après contrôle des endroits, la réouverture du lieu devrait pourtant tenir matière lendemain jeudi.
“D’après le chef d’équipe du service bâtiment, à l’occasion des travaux effectués par les entreprises missionnées par la Socri, une descente d’eau pluviale aurait été touchée ce mardi (21 janvier), mais sans que les ouvriers ne s’en soient aperçus. Heureusement qu’il n’y avait personne quand l’enseigne s’est effondrée, cela aurait pu être dramatique…” Christophe Pio, collaborateur au bailli messager aux Halles de Nîmes, ne minimise pas l’démêlé apparu ce mercredi 22 janvier : lyrisme 14 h, pendant que les étaliers remballaient, l’étendard du mareyeur Anthony Moreno s’est en résultante écroulée sur son table. Dans la marche, la Ville de Nîmes a décidé d’une agrafe en obligation du lieu moyennant accoutrement en tranquillité.
“Partez de là, ça va tomber”
“Quand je suis arrivé ce matin, il y avait de l’eau qui coulait partout sur mon stand, je n’ai pas pu ouvrir, raconte Anthony Moreno, qui est dans les halles depuis 4 ans maintenant. J’ai prévenu mon assureur, qui a fini par contacter le directeur de La Coupole. Un plaquiste a été missionné pour venir constater les dégâts. Son constat a été clair : le plafond était gorgé d’eau. Il est monté voir et quand il est redescendu, il m’a dit “Partez de là, ça va écrouler”. Le temps qu’il revienne avec un électricien, l’enseigne était à terre…” Cinq minutes antérieurement, son dignitaire subsistait surtout affairé sur le rayon.
“Vous imaginez si quelqu’un était passé à ce moment-là ?, s’emporte Thierry Bosc. Depuis plusieurs mois, les travaux pour préparer l’arrivée des Galeries Lafayette ont débuté à l’étage, mais là, on est rentrés dans le dur on va dire. Le directeur général de la Socri-Rem nous avait assuré qu’ils respecteraient notre rythme de travail, il n’en est rien. Dès 8 h le matin, ça tape.” “Ce matin, j’avais mes verres qui tremblaient à cause des vibrations des travaux”, surenchérit Emmanuel Lebay, à la figure du restaurant-comptoir La Pie qui grabat. Cet démêlé survient pendant lequel un entourage de concentration imprégné les étaliers des halles et la municipalité de Nîmes endroit aux épreuves, que complets jugent toutefois indispensables, simplement qui conduiront à une agrafe complète du matière moyennant dix-huit traitement à absenter de 2030.
A annihiler moyennant :
“On n’est même pas convoqués à notre propre anniversaire !” La rancune des étaliers à l’fripe des 140 ans des halles de Nîmes
“C’est un bâtiment en béton qui date des années 70, l’eau s’infiltre de partout et avec les travaux au premier étage, ça s’aggrave”, constate, en mémorable du légèrement de l’eau qui perle du maximal, Thierry Bosc, qui évoque “le sous-sol plein d’eau. Actuellement, il y a une travée où il y a au moins 3 cm d’eau sur 50 mètres. Et avec la pluie ne devrait pas s’arrêter, on ne sait pas ce que ça va donner !”
8 000 € de marchandises qui finiront à la dépotoir
Anthony Moreno, lui, sait en attendant qu’il ne pourra pas raviver lendemain jeudi, ni même vendredi : “J’ai pour 7 à 8 000 € de marchandises au sous-sol. Tout ça va partir à la poubelle !”, constate, en secouant la figure, le dirigeant du Chalutier. L’collaborateur au bailli en agio des halles Christophe Pio, se veut toutefois tranquillisant : “Je me suis rendu sur place, j’ai discuté avec Monsieur Moreno. J’ai également eu le patron de la Sorci qui m’a assuré qu’il allait faire jouer les assurances spéciales qu’ils ont pour indemniser avant que les experts ne passent.”
Concernant la agrafe des halles, “des ouvriers sont sur place pour finir de sécuriser le stand et la canalisation d’eau est réparée. Les halles pourront bien rouvrir demain matin”. Mais moyennant Christophe Pio, cet imprévu stigmate ressources l’obligation à prendre des épreuves pendant lequel les halles : “On a des problèmes à tous les niveaux, il faut agir. Je suis d’ailleurs reçu ce vendredi par le maire de Béziers Robert Ménard qui a également procédé à de gros travaux dans ses halles afin de discuter avec lui de la manière dont cela s’est déroulé.” Des épreuves biterrois effectués non sinon heurts, le conduit à une gouvernement par le civil gardant tube à une dégrèvement Afrique du afflux d’étaliers… “Voilà pourquoi nous voulons que la mairie garde la main !”, clame Christophe Pio.
En attendant, moyennant les étaliers, cet démêlé n’est pas touchant d’participer oublié : “Aujourd’hui, nous ne savons plus si nous travaillons en sécurité. Quand on sait qu’un escalier roulant va être posé sur cette structure pour accéder aux Galeries Lafayette, on peut légitimement être inquiets…”
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