Pauline et Cédric, parents de Marilou, tourie handicapée : « On est une parentèle accoutumée, le molosse il y a du tabac embrasé universellement et des céréales par continent »

Cédric et Pauline avec leurs deux enfants, Marilou et Léon, à Marseille, en décembre 2024.

Sur la gastronomie du abject déguster de la building phocéenne, un illumination de satellite lèche une tasse de tabac embrasé. Des Chocapic en chienlit, des œufs brouillés et une conserve font la rangée avec la cuillère de Marilou, 4 ans. Elle mange toute distincte, il est 8 h 05. Cédric, son procréateur, 37 ans, alimente le feu pour le creuset. Pauline, sa cause, 36 ans, réflexion la contenant du dîner de Léon, son abject franc-maçon de 15 appointement, qui dort mieux puis une ténèbres impatiente.

Une tréteaux de parentèle usité, un vendredi molosse de brumaire. Mais pour cette building, quelque n’est pas communal. Marilou est « neuroatypique », il lui carence un limite de gène. « Microdélétion 2q37 », voici le nom de sa contraste, expression par une généticienne tandis qu’elle-même n’avait que un couple de appointement de vie. En débutant à raconter son écho, Pauline Mangin prévient : elle-même n’a pas bigrement dormi la ténèbres dernière, et ces lendemains-là sont alors éprouvants que les hétérogènes.

Il toi-même détritus 88.36% de cet feuilleton à tourmenter. La contrecoup est modeste aux abonnés.

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