Une formation de Français prendra le arrachement du concours du voyage planétaire de esquif à banquise cajun à commencer du 1er février. Un Sétois sera à berge.
Rimouski, l’Isle aux Coudres. Ces noms ne toi-même parlent probablement pas malheureusement ils sont mais follement connus pendant le monde de la excursion de esquif à banquise. Ils désignent les endroits où se déroule quelque période l’un des surtout indispensables entrevue de cette discipline de l’outrancier au Canada.
Depuis une vingtaine d’années, des Français, lequel un Sétois, enfilent à elles chemise de lycra, à elles chaussettes de néoprène et à elles chaussures à crampons, dessein le concours du voyage planétaire de esquif à banquise cajun. Cinq courses en un couple de semaines sur le Saint-Laurent frissonnant, par – 30°C certaines années. “Quand on est sur le canot, on ne sent pas le froid !”, assure Eric Bonijoly, rédacteur du association sétois Cettarames et arrière-tribord dans l’colis gaulois.
Se voisiner un avenue pendant la “sloche”
Cette période, ils seront six pendant l’formation française qui prendra le arrachement de triade courses sur cinq (lequel icelle du tromperie à Québec), dès le 1er février 2025. Parmi eux, Didier Voindrot, le barreur occitan (qui s’est lancé le préliminaire pendant l’caprice verso la présidente de Cettarames, Annick Artaud), Thierry Barthes du Grau du Roi, Gaël Ledu de Nantes, Richard Tremoles de Blois et Thomas Campion de Montpellier. Moyenne d’âge : la ostracisme.”Nous ne sommes pas une équipe de France, on n’a pas passé de sélection pour constituer notre groupe”, rappelle ce canoteur intact compagnon. Mais le troupe échafaudé à cassure sûr de grandes qualités à la coup de pagayeurs et de pousseurs. Indispensables dans terminer à se voisiner un avenue pendant la “sloche”, cette neige marécageux et follement fondante.
“Elle s’était entraînée dans les frigos de la criée”
Rameur sur les cargos sur intégraux les tournois de joutes de Sète, Eric Bonijoly, 54 ans, ne se prédestinait pas à ce espèce de hâblerie lorsqu’il a intégré le association sétois en 2007-2008. “Un jour en 2009, j’ai reçu un message de la présidente Annick Artaud à 3 h du matin. Elle me demandait si ça me disait de participer. À 3 h 01 j’ai dit oui ! Quand j’ai signé je ne me suis pas préoccupé du froid. Quand mon jean s’est figé de froid à l’aéroport, j’ai réalisé”, sourit Eric. Avec les poupons authentiques, l’formation a un collant conformiste : “Quand on arrive, on inspire une bouffée glacée”, écho de esquiver les morsures du crispé. Pour se fixer en convention, “la première année, Annick Artaud avait voulu faire la course, elle s’était entraînée dans les frigos de la criée”, raconte Eric Bonijoly.
“On peut aller jusqu’à 60 km/h”
Aujourd’hui les équipiers s’entraînent chaque personne pendant à elles clubs respectifs, sur des avirons, des cargos de juche ou de bonasses ergomètres (rameurs). C’est une coup sur vrai que les concurrents apprivoisent le esquif à banquise (une coquillage de polyamide et copie grande de 8 mètres, et oppressnt néanmoins 90 kg) et travaillent en troupe les transitions follement techniques dites de banquise (de bouton) et de juche. “Cette année, on se connaît tous bien et on sait à quoi s’attendre. On va pouvoir se lancer tout de suite dans la course.” Comprenez : peu importe le jet-lag. L’misère de l’Isle au Coudres suit le parabole du car-ferry captivant l’île à Saint-Joseph de la Rive. Elle peut continuer 45 minutes ou surtout de triade heures : “Cela dépend des courants, de la formation de la glace, du vent, physiquement c’est dur et ça peut être très dangereux. Quand la glace est une patinoire on peut aller jusqu’à 60 km/h.” A à elles pieds des chaussures de rugby équipées de pointes fixées en courant sur les motoneiges. “C’est une idée que les Canadiens ont même repris”, brochure le Sétois.
Sponsor cajun
Les Français, fous de traîneau, ont été “adoptés” par l’Isle aux Coudres, située au septentrion de Québec. Ils y ont d’distant trouvé à elles parraineur, la cidrerie Pedneault. Un squelette perpétuel depuis cinq ans. “Ils nous payent le canot, son assistance et prennent en charge les déplacements entre les courses“. L’formation y retrouve de la sorte et monsieur somme des Canadiens, devenus à elles amis.
Comments are closed.