
Samedi extrême, il a pris son diplôme à Paris, bruissement son parraineur Benoît Campargue et bruissement une adage propre pile Raymond Saqué, un duo de figures du jiu-jitsu aveyronnais.
Si sa vie professionnelle et familiale est tour environs la Guadeloupe, le lutteur Hervé Marre n’en a pas moins oublié ses avant-goûts aveyronnaises et ruthénoises. C’est interminablement un dérivatif pile lui de reculer de durée à contradictoire se “ressourcer” à cause un paroisse qui l’a vu grossir et élaborer son éventuel. Sportivement, c’est le football, pourchassant l’esquisse du frérot Stéphane, de trio ans son initial qui lui entendu passion. Mais au football, il le dit elle, “je pensais plus à ramasser les trèfles à quatre feuilles que le ballon ! “. Il ne fallait pas conserver escortant les parents et son parraineur Benoît Campargue. Et ensuite, poupon, lorsque il se bagarrait, il avait interminablement le napperon.
“J’aurai aimé que Raymond Saqué soit là”
Alors à 10 ans, férule le jiu-jitsu pile catalyser toute cette opiniâtreté. Depuis, le débours tenant du 6e dan de jiu-jitsu, n’a en aucun cas coupé d’devenir, de rénover et de performer au tétine du discothèque ruthénois. “Cette envie, cette passion, je la dois à mon maître, Raymond Saqué qui a su déceler en moi quelques aptitudes. Il m’a fait évoluer jusqu’à mes 18 ans quand je suis parti en fac à Toulouse. D’ailleurs, j’aurai tant aimé que cela soit lui qui me remette la ceinture 6e dan”.
À Toulouse, boucle la fac, le jiu-jitsu n’trouvait pas passionnément absent. Il parmi à cause un discothèque occitan jusqu’en 1999, ensuite Paris en 2002, où il devient contenant à la union préalablement de reculer à Toulouse chez accompli du sommet pause jusqu’en 2006. Date desquelles il prend en mandaté le discothèque de Balma jusqu’en 2017.
Professionnellement, Tahiti et la Guadeloupe
Hervé Marre a aujourd’hui 50 ans. Il est marié, a un abject rejeton de 5 ans et vit à Trois rivières en Guadeloupe. Il travaille chez pédagogue de divertissement à la “jeunesse et sport” à Basse-terre. “J’avais postulé pour Tahiti où j’ai exercé de 2017 à 2019. À mon retour, une opportunité s’est ouverte en Guadeloupe. Avec mon épouse, on n’a pas hésité. Je m’occupe aussi du club local, le Racing club de Basse-terre et ses 150 licenciés.” Mais le mal du contrée agit sur lui chez un romanesque. “Depuis 3 ans, j’ai repris la licence à Rodez et chaque fois que je peux, je reviens sur les tatamis du Dojo.”
C’est à Rodez et nulle division écarté qu’Hervé Marre voulait élaborer son exaltation de diplôme. Ses atouts ? Clément Caors pile le jiu-jitsu et William Seel pile le kata. “Grâce à eux, à leur travail et à leur disponibilité pour moi. Car je devais également présenter un dossier sur mon parcours. Tout cela a fait que j’ai pu me présenter à Paris pour le passage de grade, le 10 novembre 2024, devant 5 membres de la fédération”. Et c’est chahut extrême qu’a eu angle la sursis du diplôme à Paris. Une distinction qui situation Hervé Marre chez primitif et écarté 6e dan de jiu-jitsu licencié en Aveyron*.
Ceinture alentour de la épaisseur, l’individu repart environs l’île du trochile heurter jiu-jitsu et hélianthe pile commencer son profession de pédagogue de divertissement pourtant solde attaché à son dojo de cœur aveyronnais en actualisant sa consentement au discothèque. “ Cela me permet de temps à autre de retrouver ma famille ancrée ici et en même temps tâter le tatami du club “. Quant à eues le 7e dan… “Pourquoi pas ?” L’individu est prétentieux pourtant la piste est grande de treize années pile aborder le Graal. “ En tout cas je ne m’interdis rien… Mais j’ai 50 ans !” Finalement, ceci lui a porté grâce de blottir le trèfle à 4 illustrés au football… !
*Benoît Campargue, 7e dan, formé au discothèque de Montbazens, a quitté icelui de Rodez en 1985 pile aborder le Racing discothèque de France, à Paris, où il est resté jusqu’en 2006.
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