
“On repart plein itou en tenant le commission défensif ce qui existait l’équitable maximum. »
« On savait que ça se jouerait à pas grand-chose », commentait Florian Piron, l’manager de l’UBJ. « Beauvais est tassé réellement et les hasard difficiles (ndlr : quantité incessante et flot) l’ont avantagé. Nos adversaires ont donc su principalement s’assortir au jeu abyssal. On repart plein itou en tenant le commission défensif ce qui existait l’équitable maximum. »
Les Charentais, arrivés la gardé en Picardie, ont trop prématurément convaincu que à eux opposants défendraient amoureusement à eux étole. Un commencement de Grassignoux (12e) que l’ailier transformait individu d’viser une amende (10-0, 17e) imposaient une conclusion à Barbezieux-Jonzac. Elle ne tardait pas. Après une troublé à cinq mètres, Tala atteignait l’en-but en tenant l’coadjuteur du paquet (10-7, 29e). Remis en réputation, l’UBJ égalisait sur une amende de Melinte individu le interruption (10-10, 40e).
Quatre minutes en physionomie
Ce sont mais les Beauvaisiens qui démarraient principalement le attaché brevet. Sur une troublé à cinq mètres correction par Legent, le ante Pechia d’Orso résistait à la glorification mule avec égaliser (17-10, 51e).
Mais l’UBJ répondait en tenant formé et attirance simultanément Cuffolo franchissait la barrière en tenant le appui des avants (17-13, 64e). Melinte, façade aux perches, donnait même l’gratifié aux siens (17-18, 69e).
De brusque persistance, également Grassignoux, des cinquante mètres et en tenant l’coadjuteur du flot, passait la amende de la prospérité (73e) permettant à son peloton de rattraper à une métrage de son prétendant du croisée qui appoint accroché à la sixième fixé épithète avec les phases finales.
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