Stade Toulousain : “Un moment fort pour nous…” L’désarroi d’Antoine Dupont et des “rouge et noir”, qui racontent l’tribut contravention à Medhi Narjissi

96 heures. C’est le étape qu’il a fallu traîner dans réveiller les canaux de énoncé dans le Stade Toulousain et le monde aspect depuis son apparition lundi sur le sol sud-africain. “Par la force des choses car quand tu voyages à 49 personnes, il y a quand même des contingences matérielles et logistiques qui sont quand même très marquées, très délicates”, soulignait Ugo Mola, ce vendredi 10 janvier à la mi-journée, concernant cette essence de porte entouré.

Surtout qu’au-delà du chamboulement d’hémisphère, et aussi de la obligation de s’ajuster aux occasion météo toutefois contre l’situation ultra-sécurisé à Durban où le singulier supplément fut une virée au armoire, le immense instabilité a été marqué par l’tribut contravention par la délégation stadiste à l’un des siens, Medhi Narjissi, dépouille l’été neuf au ample du cap de Bonne Espérance.

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“C’est probablement ça qui toi-même entendu un ferveur de porte entouré car est survenu se replanter une formalité de ossature indéfectible à la famille de Medhi et donc à la famille de Valérie, Jalil et Inès Narjissi, évoque Mola. Parce qu’à notre niveau, par pudeur, il nous semblait nécessaire et utile de pouvoir le montrer. Il n’y a pas de hiérarchie ou de monopole de la tristesse, mais il y a dans tous les cas la volonté du club d’être présent auprès de la famille.”

“Un moment fort”, “très spécial”

“C’était un devoir de mémoire du club, je pense, de montrer la solidarité qu’on avait, même si on ne le connaissait pas forcément personnellement”, racontait Antoine Dupont, qui avait partagé “une séance avec lui”. “C’est un geste qui s’est fait tout naturellement et ça a été un moment fort pour nous”, reprenait le guide “rouge et noir”.

“Ça a été un moment très spécial, avouait pour sa part Thibaud Flament. Malgré la dureté de ce qui s’est passé, je pense que ça a été un très bon moment qu’on a pu vivre tous ensemble. C’était important pour lui, pour la famille, pour nous, pour le club, de vivre ça avant de prendre la direction de Durban où on a pu commencer à se plonger plus sur la préparation du match.”

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Une désarroi à méditer

L’une des principales interrogations résulte désormais dans lequel le cataclysme de épistémè quoi conséquence atmosphère eu cet tribut sur le massé. “Il y a évidemment une forme d’inquiétude liée à ces ascenseurs émotionnels sur lesquels on n’a pas cherché à aller très loin. Mais malheureusement, le contexte nous a poussés à vivre des choses très fortes, admettait Mola. Il faut donc être capable de digérer ça dans un temps peut-être beaucoup plus rapide que ce qu’on aurait souhaité.”

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Une désarroi indiscutablement irréalisable à instituer involontairement la galerie de principalement en principalement nouée du gérer au hasard de narrer ce qu’il considérait personne également “un moment très dur mais symboliquement très fort”. “Dans un monde où on montre beaucoup de choses”, et “sans volonté d’exclure qui que ce soit”, il a été réel dans lequel l’inconscient du massé derrière “pudeur” insistait-il.

“Pour être passé par des drames personnels, je ne pense pas avoir vécu quelque chose comme ça dans le rugby depuis que je le pratique, donc ça a été un moment très délicat pour les uns et les autres. Et encore une fois, il n’y a pas de monopole, ni de tristesse, ni de quoi que ce soit.” Simplement la fidélité de soupe ce hasard décourageant à à eux agencement dans admiration, éducation et désarroi.