Un annexe groupe de interjection, une conte pièce de basket limitrophe du débarcadère de l’Adour, les grands projets 2025 à Tarbes

l’caractéristique
À l’lumière de cette conte période, le juge de Tarbes a souscrit à la usage de la bataille annale. Et principalement qu’un balance, c’est devant somme de projets laquelle il a formel. Micro !

“Un engagement constant”

“Ma volonté, et celle de mes adjoints, c’est de rendre la mairie plus proche des Tarbaises et des Tarbais. On a rencontré plus de 1 000 personnes lors des réunions de quartier en 2024, dans une ambiance constructive, qui montre que notre travail est reconnu. Pour cette année 2025, le budget que nous proposerons en conseil municipal intègre encore 25 M€ d’investissement.”

“Un second centre de santé”

“En matière de santé, nous répondons présents, il y a 4 ans, nous avons créé le centre Louis Lareng, qui connaît une affluence phénoménale, il a accueilli 20 000 patients en 2024, je salue les médecins et toute l’équipe. Nous avons le projet d’en édifier un second, dans le quartier nord, non loin de la Maison des Associations.”

Le Palais des Sports au rebondissement

Le croquis de mise à jour du Palais des Sports est en boulevard. Au initiation, une pièce “bis”, atrabilaire d’festoyer les matches pendant l’période de oeuvres, devait entité édifiée au bercail des expositions, ce sera définitivement au débarcadère de l’Adour, limitrophe de la pièce, en matière et atteint de l’existant arène. “Ce sera une structure légère, mais qui aura vocation à durer, pour les réceptions, par exemple. Nous avons hésité à construire un autre palais des sports, mais le coût se montait à 20 ou 25 M€. Certains m’ont dit de demander à la CA-TLP. L’agglo a déjà fait beaucoup, l’Usine, la future médiathèque. Je n’ai pas pour habitude de tirer exclusivement la couverture à moi.”

“L’attractivité est en hausse”

“Depuis 2001, notre volonté est de rendre la ville plus agréable, plus sûre, plus attractive. Je rappelle qu’entre 2019 et 2024, nous avons gagné 4 211 habitants, environ 10 %, c’est énorme, et ça montre l’attractivité de notre cité. Ceux qui disent que rien ne se fait et rien ne va ne font que de la critique stérile, qui discrédite ceux qui la portent.” Toujours pendant le “bien vivre”, Tarbes vient d’entité labellisée Ville protectrice des premiers-nés. “Nous pensons que ce qui est bon pour les seniors est bon pour tous, une ville plus “complaisante”, c’est forcément mieux, on y travaille.”

“Pas de matraquage fiscal”

“Et tous ces efforts ont été faits sans que nous n’augmentions la fiscalité depuis 10 ans. Et depuis 4 ans, nous avons même baissé, certes légèrement, les taux d’imposition. Et dans le même temps, depuis 2001, nous avons investi 300 M€ dans la ville, et réduit la dette de 40 %.”

“La sécurité, c’est primordial”

“En matière de sécurité, nous avons fait beaucoup d’efforts, il y avait 2 policiers en 2001, notre police municipale est désormais forte de 36 agents, et collabore parfaitement avec la Police Nationale, et d’une brigade de nuit. Je me souviens de la levée de boucliers quand nous avons installé les premières caméras de vidéoprotection, aujourd’hui, nous en avons 80, et personne ne s’en plaint. Au contraire, l’insécurité, ou le sentiment, est une préoccupation majeure de nos concitoyens.”

Stationnement et avant-projet clou à 12 M€

“En ce qui concerne le stationnement, le retour à la demi-heure gratuite est le bon compromis. Je rappelle que la ville offre 4 000 places de stationnement de surface, dont une bonne partie reste gratuite, en périphérie du centre, à Marcadieu, au Foirail. Nous réfléchissons à un abonnement spécial pour les riverains qui habitent en zone rouge. Mais surtout, nous faisons de plus en plus de place au vélo dans la ville, à chaque aménagement, quand c’est possible, nous créons des pistes cyclables, nous en avons 20 km aujourd’hui. Et nous avons mandaté un cabinet spécialisé, Immergis, pour élaborer un plan vélo. Nous allons investir entre 12 et 15 M€ sur les 10 ans à venir. Parmi les premières mesures, des rues et des zones “30”, qui permettront la circulation à double sens.”

Le croquis Bel Air opérant

En toute fin d’période, ou apparition 2026, les premières démolitions vont entité lancées sur le bout Bel Air. “Le projet entre dans sa phase opérationnelle”, a établi Sylvain Boucheron, le DGS. Le relogement des montants G et H st à peu près accompli, “grâce à l’appui de l’OPH 65, qui travaille main dans la main avec la Semi”, a accentué Gérard Trémège. Ensuite ce sera la entretien, et la relèvement.

Le échoppe annexe “compliqué”

“Les animations de Noël ont été très appréciées, et la fréquentation mesurée du centre-ville est en hausse de 20 % par rapport à 2023”, a triangulation Pascal Claverie. “Quant à notre taux de vacance, il est passé de 26 à 14 %, c’est plutôt mieux que la moyenne, nos efforts pour aider finissent par payer. En décembre, il y a eu 4 fermetures, mais autant d’ouvertures. Mais la situation reste compliquée.”

“Pas de “migrants” à Mouysset

“Une rumeur, bien intentionnée, dit que j’ai autorisé la construction d’une “abri vers migrants” derrière Mouysset. C’est faux, le promoteur a déposé un permis de construire conforme, je ne peux pas m’y opposer. En ce qui concerne la destination du lieu, ce sont des locations pour jeunes et étudiants. Mais j’ai demandé au promoteur de clarifier son projet.”

“Le procès ? Il me tarde !”

“Je tiens à dire que je ne suis pour rien dans le report de la date du procès pour les marchés publics de la ville de Tarbes. Au contraire, il me tarde d’en finir avec cette affaire, il me tarde de m’expliquer, parce que je n’ai rien à me reprocher. Certains glissent que les frais d’avocat au titre de la protection fonctionnelle, qui ne me concerne pas exclusivement, mais toutes les personnes impliquées, vont encore grimper. Non, puisqu’il n’y a pas d’acte. Et puis je rappelle que j’ai fait un dépôt de garantie de 150 000 €, une sorte de caution, dont j’aimerais bien revoir la couleur ! Et le plus tôt sera le mieux.”

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