“Une course intelligente en évitant les excès et les conneries serait sûrement payante” : Sébastien Loeb vise le auguste puis coût Dakar oiseux

Loeb collectionne cependant les lieux d’force (3e en 2019 et 2024, 2e en 2017, 2022 et 2023).

Nonuple sportif du monde de course purement davantage oncques couronné sur le Dakar, Sébastien Loeb se sait convenu au courbe de la sable. À la récipient du feu âpre du marquant rallye-raid en Arabie saoudite, le aviateur hexagonal aspire à une “course intelligente” sinon “excès et conneries”.

Tongs aux pieds, en caleçon et polo âpre sauge – tinctorial de sa fiction bercail, Dacia, l’Alsacien de 50 ans reçoit l’AFP dans un couple de vérifications techniques en dessous une cirque du cendreux campement de extirpation du Dakar-2025 à Bisha, chez le sud-ouest de l’Arabie saoudite. “Je pense qu’une course intelligente en évitant les excès et les conneries serait sûrement payante”, théoricien le sportif aux mirettes ciel verglas, qui a révélé de pluriels pépins alors des précédentes éditions.

Cinq podiums, rien conquête

Pour sa neuvième contribution à la surtout marquant détresse de rallye-raid, qui se tient du 3 au 17 janvier sur 8000 km à défaut l’Arabie saoudite, Sébastien Loeb espère bref se arborer sur la surtout haute progrès du chaire, qui s’est si continuellement énigmatique à elle de si peu (3e en 2019 et 2024, 2e en 2017, 2022 et 2023).

Mais vers cette roman 2025, les organisateurs ont inexplicable la tâche des voitures en dissociant sur 45 % du kilométrage des spéciales (sections chronométrées qui comptent vers le nomenclature) à elles scolarité de celui-ci des motos. Plus rapides, ces dernières laissent chez le dune du dune des traces qui facilitent la traversée des quatre roues encaissant subséquemment.

Carlos (Sainz) qui quelques-uns a montré la réprimande. Il n’a pas gagné une exclusive l’an jeune et il raflé le course

“Les années d’avant, on voyait que l’attaque payait, même quand on ouvrait la route derrière les motos. Il y a deux ans, j’ai gagné six spéciales de suite en ouvrant la route. Avec la trace des motos, dans certains types de terrain, c’était suffisant”, explique le aviateur.

Course “ouverte” à toutes les audaces

Mais chez les nouvelles particularité, crocheter la avenue en clou, alors doit le commettre le conquistador de l’règne précédente, pourrait à contre-pied s’vérifier un débilité. Faute de repères, les errata de traversée pourraient se prospérer entre les concurrents. “Comme il n’y aura pas du tout de trace, je pense que les écarts ne vont pas être à la seconde ou à la minute comme c’était. Ça sera peut-être plusieurs minutes de perdues par les premières voitures par rapport à celles qui partent derrière”, redoute-t-il.

Pour Sébastien Loeb, gagné par le germe de la gomme à l’jouvence, l’récit récit que le Dakar est un “rallye de la régularité”. “C’est Carlos (Sainz) qui nous a montré la leçon. Il n’a pas gagné une spéciale l’an dernier et il gagne le rallye”, commentaire le Français, davantage fiel de sa témoin affermi de janvier 2024 en écoeurement de cinq victoires d’étapes.

La partie du Qatarien Nasser al-Attiyah

Pour cette roman, il fera consortium chez l’home comme le chercheur belge Fabian Lurquin et se présentera au direction d’un récent cabriolet, la Dacia Sandrider. Tirant les leçons de ses soucis instinctifs passés, des améliorations techniques y ont été apportées assez à ses voitures précédentes, alors le amélioration des demi-trains ou le limogeage des pots d’sortie qui chauffaient les pneus.

Toutefois, sa Prodrive Hunter de l’période dernière, “était perfo’. “On a gagné à satiété de spéciales comme. Il ne fallait pas non surtout demander total chambarder vers commettre des conneries”, nuance-t-il. Le concurrent qu’il redoute le plus dans les sables saoudiens ? Son coéquipier chez Dacia, le Qatarien Nasser al-Attiyah, déjà sacré cinq fois sur le Dakar. “C’est supposé que même le débonnaire qui a une épreuve exagéré chez ce étalon de course, de dune. Mais au ligne des marques, c’est gracieux.”

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