Vœux du PS : imprégné inquiétudes et espoirs

Conilhac-Corbières accueillait jeudi 23 janvier la festin départementale des vœux du Parti Socialiste. Une commencement souhaitée au mieux jouxtant des militants par le encrier de la alliance de l’Aude Alix Soler-Alcaraz. Un coïncidence, en assistance de luxuriant responsables publics plus Hélène Sandragné, présidente du Canton, Chloé Ridel, députée occidentale et agent nationale du PS, les conseillers départementaux Hervé Baro et Valérie Dumontet, André Hernandez, administrateur de l’intercommunalité lézignanaise et Serge Brunel, édile de Conilhac.

Le encrier confédéral brossa la occasion présente qui, continuateur lui, révèle beaucoup inquiétudes : “Notre monde et notre pays vont mal. Sur le plan international, c’est le retour des empires, c’est le retour de l’autoritarisme, de la force plutôt que du droit, c’est l’individualisme sauvage et exacerbé, porté en étendard malgré les conséquences terribles sur le plan collectif ou celui de la planète “.

Et d’hisser la supputation de son évoluer : “Nous, les partisans de l’égalité, de la fraternité, de la solidarité, de l’écologie, du féminisme, nous mènerons le combat contre cette forme de fascisme “.

La députée occidentale prit de ce fait la diction derrière accuser, en interprète nomenclature aux Justificatifs-Unis et à la Russie, “des oligarchies ; bien que différentes, elles ont en commun, une forme de non-respect pour la démocratie. Elles ont une méthode : le rapport de force plutôt que le dialogue et le droit. C’est tout le contraire de ce que nous, socialistes, nous incarnons en Europe. Face aux puissances de l’argent, nous ne transigerons pas. Nous ferons preuve de résistance pour faire entendre nos valeurs. Nous devons faire barrage à cela “.

La animateur économie mit l’note pile soigné et révélation sur le recrudescence en rémission de son évoluer : “Nous sommes le deuxième groupe au parlement européen. Nous avons doublé aussi la taille de notre groupe à l’Assemblée nationale. Nous sommes devenus central dans le jeu politique français. Cela nous donne de nouvelles responsabilités. Nous devons répondre à la demande du pays qui ne veut pas d’une nouvelle censure. C’est difficile car nous ne devons pas briser l’union de la gauche. Nous avons besoin de cette force collective pour faire gagner demain nos idées.

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