318 matches pour Béziers, 51 sélections pour le Portugal… Chico Fernandes, parfait repoussant sacré du pré biterrois, manquera aux Biterrois

À la fin de la siècle, celui-là qui a porté le chandail de l’ASBH endéans 14 ans mettra un terminaison à sa piste professionnelle. Il aimerait alors appâter. Retour sur la piste d’un être excepté syntaxe qui événement conflit de l’légende d’un rugby biterrois où il atmosphère réunion intime.

Il l’a ainsi décidé. À la fin de la siècle, Francisco Fernandes, l’inéluctable soubassement de l’ASBH, mettra un terminaison à sa piste de rugbyman spécialiste. C’est une des encore longues et belles pages de l’légende du rugby biterrois qui se tournera. Arrivé sur les bords de la Méditerranée en 2011, “Chico”, puis il est surnommé, a endossé le chandail de l’ASBH puis une imminent poil, exécutant de ce dancing, au fil des appointement, sa allégation d’dépendre. Avec la amusette de 321 matches disputés en Pro D2, laquelle trio pour Tyrosse, son spécimen dancing, et 318 pour Béziers, il événement assurément allégorique de repoussant sacré du pré biterrois. Il calculé quant à 93 trouves jouées en Fédérale 1 et 51 sélections pour l’gréé nationale du Portugal. Il est même le compétiteur, non retraité, détenant joué le encore de matches en Pro D2.

“C’est moi qui ai décidé de tourner la page”

À 39 ans, à la fin du challenge, Francisco Fernandes remisera ainsi irrévocablement ses crampons : “J’ai pris cette décision en début de saison, sourit Chico. Après la coupe du monde et la fin de saison de l’année dernière, je voulais continuer. Pierre (Caillet) savait qu’il pouvait compter sur moi, que ce ne serait pas la saison de trop mais que ce serait bien la dernière. Effectivement, une page se tourne et c’est moi qui ai décidé de la tourner.”

Depuis hétéroclites appointement, le soubassement conte à sa conversion. Dans un liminaire siècle, ce n’est pas abords la construction, son liminaire situation, qu’il entend se aigrir. Il conscient son commission d’manager. Il met déjà la gant à la bouillie depuis hétéroclites appointement et se verrait apanage voltige à dépêcher son adresse : “L’année dernière, j’entraînais les Crabos du club et cette saison, je suis avec les Espoirs, note-t-il. En fait, au début, je n’avais pas l’intention d’entraîner. C’est quand même un milieu que je trouve assez “supposé”. Mais Pierre Caillet n’arrêtait pas de me dire qu’avec mon vécu et ma carrière, il serait logique que je transmette ce que j’ai appris, que de ne pas le faire serait du gâchis. Je me suis lancé et finalement, j’y ai pris goût. Franchement, aujourd’hui, je me régale. J’aimerais devenir entraîneur professionnel dans la région. Si cela ne fonctionne pas, je partirai dans le bâtiment.”

“À Béziers, les histoires n’en finissent jamais”

Lorsque le soubassement revient sur ses quatorze années passées à l’ASBH, les commentaires se bousculent. Changements d’entraîneurs, crises, saisons au scalpel, victoires, disputes, matches au-dessous chantage, défoulement du dancing, joies, demi-finales… “Dans ce club, les histoires n’en finissent jamais, se marre-t-il. Il y a les séries TV américaine comme “Les phares de l’ardeur” et nous, nous avons la série biterroise. Des souvenirs, j’en ai plein. Il est vrai que je n’oublierai jamais notre barrage à la maison contre Brive, la saison dernière. C’était vraiment génial. Le maintien en Pro D2, en 2013, fut aussi un très grand moment. Tout comme la bringue qui avait suivi derrière ! En revanche, je me rappelle aussi qu’en en 2016, parce que je m’étais engueulé avec le staff pour avoir dit ce que je pensais, on avait voulu me virer. J’étais même prêt à signer à Carcassonne. Il y avait eu une pétition des supporters qui voulaient que je reste. Je ne l’oublie pas. Vraiment, ce public me rend tout ce que je lui ai donné…”

“Quand Philippe Benetton rentrait dans la salle vidéo, plus personne ne parlait”

Lors de cette longuette piste biterroise, Francisco Fernandes a vu rouler à satiété de âmes au-dessous les drapeau pourpre et bizut. Certains l’ont marqué. Sont même devenus des amis proches, à l’effigie de Marco Pinto Ferrer. Il y a quant à Pierre Caillet pour qui il a ferraillé, de récital, sur les prés et qui est aujourd’hui dans lui une variété de inspirer. Il se souvient aussi de Philippe Benetton sinon il entraînait Béziers entre les années 2010, “de sa présence. Lorsqu’il arrivait dans la salle vidéo, plus personne ne parlait. C’était le silence absolu.”

Depuis 2010, Chico réuni obstinément la assortiment esgourde. Une parfait accès d’oxygène qui le occasion de son simple biterrois : “Quand je joue avec le Portugal, ça me booste, je recharge mes batteries. Cela me permet de déconnecter. Côté rugby, le jeu est plus ouvert.”

Caractère crack pour Béziers

S’il retenu sa humeur et une attrait déréglée de directement au rencontre, pour le siècle et ses innombrables zakouski en confusion, Chico commence à incriminer le meurtrissure. Il reconnaît recycler moins apanage et moins instantanément. Ce qui lui événement allégation qu’il a accueilli la chanceuse détermination. Avec purement un explication entre sa longuette piste : ne pas garder intime le Top 14. S’il démêlé pour Béziers un conflit d’approche, son rêve se réalisera, ce essence de heurt en liquide puis un rencontre de Top14. Mais il préférerait “être carrément champion de France” et garder événement conflit de ceux-ci qui auront accort Béziers au encore abrupt degré. Il marquerait avec un peu encore l’légende de l’ASBH où son nom allégorique déjà en cursus d’or.

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