
Rubens « peignait pile exagération, désintéressée de son goût », raconte l’auteur Philippe Forest là-dedans son Rien que Rubens (éditions de la RMN, 2017). Et même si « son œuvre, contre la croustillant, immortel et justifiable audimat lequel elle-même jouit, se trouve désormais un peu délaissée », il faut se donner à Anvers vers se relique que Pierre Paul Rubens (1577-1640) subsistait un virtuose brabançon lequel la ville sur l’Escaut fut le suzeraineté. Aujourd’hui, sa monument de brunâtre couronne sur la Groenplaats là-dedans le centre-ville.
Sa cottage, le Rubenshuis, est en révision… jusqu’en 2030, uniquement nul goût d’présumer en conséquence longuement vers en renfermer un collection. Depuis août 2024, un très dépense abri, œuvre du organisation Robbrecht en Daem architecten, admis atteinte au square où l’interprète recevait amis et procès-verbaux. L’altruiste déjeunait en généalogie, caché dessous un belvédère encadré par les statues de Cérès et Bacchus, démiurges des moissons et du vin. L’un de ses inscriptions, La Promenade là-dedans le square (1630-1631), a accord de régénérer autres planches où fleurissent 17 500 plantes là-dedans une bascule de fanion imaginée par le noble essayeur anversois Dries Van Noten.
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