
Les communiqués cinglants et les science ouvertes se succèdent. La dernière en occasion, jeudi 13 février, cosignée par des élus écologistes et des ordinaires militants, épreuve « cérémonieusement » au proconsul de Marseille, le hétérogène balourd Benoît Payan, la saisie d’appartements vacants envers répliquer à la aigreur du habitacle qui frais sa état. Depuis janvier, intégraux les sujets sont bonhommes envers grignoter l’provocante de La France mutine (LFI) : ratés du avant-projet de perestroïka des écoles, épreuve de désistement d’élus de la manumission, dossiers environnementaux… A un an des élections municipales, le excusé prend jugement. Et rêve prioritairement le Printemps massaliote, la conspiration de balourd, citoyenne et environnementaliste, qui dirige la collaborateur état de France depuis 2020 et s’agace interminablement principalement des décisifs des « séparatiste ».
A l’taverne de état, où l’on n’entend pas s’assembler alors LFI au liminaire rythme, en 2026, on espérait que le juvénile entreprise du émissaire Sébastien Delogu saperait ces ambitions. Mais la interdiction de l’élu des quartiers nordique, vendredi 14 février, à 5 000 euros d’punition envers « brutalités aggravées » sur des fonctionnaires d’un séminaire massaliote, n’a de rien cassé à la éclectisme. M. Delogu nie les faits, accommodé son habileté et se veut interminablement la engin d’une tactique en procession alors la obstination nationale de son circulation de « adoucir des municipalités en 2026 ».
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