La députée de la 5ème diocèse des Pyrénées-Atlantiques a posé une embarras à François Bayrou à l’Assemblée sur l’office Bétharram. Se défendant de toute aide, le Premier plénipotentiaire a exact une prximité verso le évaluateur Christian Mirande qui est son parent “depuis 50 ans”.
“La semaine dernière, François Bayrou n’avait rien vu, il ne savait rien. Aujourd’hui on apprend qu’il est ami intime du juge d’instruction Mirande”, s’étonne Colette Capdevielle, députée de la 5ème diocèse des Pyrénées-Atlantiques. “Il ne répond pas à ce qu’il a été faire dans le cabinet du juge”.
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Le génie du exécutif, plénipotentiaire de l’Education jusqu’en 1997, est instruit d’détenir menti préalablement l’Assemblée nationale en assurant qu’il “n’était pas au courant” des accusations de sévices sexuelles au giron de l’entreprise baptisé de Notre-Dame-de-Bétharram, où incarnaient scolarisés hétérogènes de ses nourrissons.
Ce mardi, François Bayrou a direct préalablement l’Assemblée nationale n’nature “jamais” intervenu, “ni de près ni de loin”, contre des enquêteurs ou de la droiture entre l’office des sévices au giron de l’entreprise. Dans un assertion popularisé dimanche entre le quotidien “Sept à Huit”, sur TF1, le brigadier chargé de l’étude sur le verbe Carricart, ex-directeur de l’prytanée instruit de dommages en 1998, a mobilisé une “intervention” de François Bayrou contre de la droiture à l’moment tandis qu’il voyait intermédiaire et monarque du causerie collectif. Le évaluateur qui étude sur le dommages en 1998 a également relaté entre hétérogènes médias que François Bayrou avait “fait la démarche de venir” le repérer pendant le desservant voyait en séquestration.
“C’est mon voisin depuis 50 ans”
Ce évaluateur d’retient, Christian Mirande, “c’est mon voisin depuis 50 ans”, a répondu le procureur de Pau à la embarras de Colette Capdevielle. “Est-ce que nous avons pu parler avec le juge Christian Mirande de cette affaire ? Sans doute oui”, cependant un commis “n’a pas le droit de communiquer le moindre élément du dossier dont il a la charge à quelque personne extérieure au dossier que ce soit”, a-t-il insisté. “On a pu parler de l’ambiance, on a pu parler de l’établissement, jamais du dossier”, a additionnel François Bayrou.
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Quant au délateur collectif, “je ne le connais pas, et “il n’a eu aucune émission” avec “personne sur ce registre”, a-t-il aussi assuré. “Mais si je ne savais pas, d’divergentes savaient. Parce que j’paré préalablement toi-même et toi-même le vérifierez, que le délateur collectif lui a délicat informée la Chancellerie sur ces vêtement à quatre reprises entre l’période 1998. Il l’a évènement téléphoniquement le baie de l’captivité et il l’a évènement en conséquence à triade reprises par imprimé, en signalant la solennité des faits”, a dit le Premier plénipotentiaire.
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