Affaire du accolade forcé : détonateur du punition de Luis Rubiales, ex-patron du football ibère

Luis Rubiales façade la impartialité. Le punition de l’doyen règle du football ibère s’est percé, lundi 3 février au gaillard, rapproché de Madrid. Il est jugé avec le accolade imposé façade le monde absolu à l’internationale Jennifer Hermoso, en 2023, et les pressions exercées sur sézigue avec déguiser le désordre.

L’audience a esquissé peu monsieur 10 h 15 (9 h 15 GMT) façade le château de l’Audience nationale, à San Fernando de Henares, puis l’enquête de questions préliminaires.

L’ancien individu tassé du football ibère est rejoint au château environs 9 h 15, un duo de minutes monsieur la footballeuse, qui évolue aujourd’hui au Mexique et doit existence la début à prétendre lundi.

Devant le château, Jennifer Hermoso a divulgué ce qui lui est rejoint : “ça ne devrait jamais arriver”, a-t-elle spécialement franc. La footballeuse est devenue un parabole de la conflit en échange de le misogynie comme le match subséquemment le désordre, qui avait éclaté comme la trace du auguste de l’Espagne tandis du planétaire en Australie.

“Merci encore, Jenni, pour ton courage. (…) Aujourd’hui, plus que jamais, nous sommes avec toi. Plus jamais de baiser non consenti, plus jamais d’agression sexuelle”, a réagi sur X la ambassadeur espagnole de l’Équivalence, Ana Redondo, peu monsieur le détonateur de l’écoute.

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Luis Rubiales, 47 ans, qui trouvait au données des faits directeur de la Association espagnole de football (RFEF), comparaît avec crime sexuelle et contrainte.

Baiser “par surprise” et “pressions constantes”

Le assises, qui régulière en Espagne ses conclusions monsieur le punition, bluff une sanction de paire ans et setier de pénitencier à son opposé, un an avec crime sexuelle et un an et setier avec les pressions exercées sur la joueuse.

Selon l’garantie d’inculpation, le accolade sur la bouche imposé à la joueuse par Luis Rubiales a été complet “par surprise et sans le consentement ni l’acceptation de la joueuse”.

À brusquement de ce données, “des pressions constantes et répétées ont été exercées directement sur la joueuse Jennifer Hermoso Fuentes et par l’intermédiaire de sa famille et de ses amis dans le but (de l’amener à) justifier et approuver publiquement le baiser que Luis Rubiales lui avait donné contre sa volonté”, certifié aussi l’inculpation.

De nombreuses coéquipières de Jenni Hermoso, laquelle la indécis Ballon d’Or Alexia Putellas, des dirigeants de la RFEF, aussi que les sélectionneurs des équipes d’Espagne féminine et masculine, seront appelés à la bâton avec prétendre. 

L’ex-grand règle du football ibère, qui a longuement présenté ce accolade également un attitude permis et a nié toute contrainte, sera accepté à brusquement du 12 février.

Plusieurs changées responsables de la coalition jugés

Aux côtes de Luis Rubiales se trouvent sur le siège des accusés l’ex-sélectionneur de la Roja féminine, Jorge Vilda, et paire vieux responsables de la RFEF, Ruben Rivera et Albert Luque, en échange de qui le assises a commandé un an et setier de pénitencier avec bien délié des pressions sur la joueuse vers d’déguiser l’bagarre.

Le désordre avait éclaté le 20 août 2023 à Sydney, en Australie, tandis de la foire de sursis des médailles aux joueuses de la Roja qui venaient de acquérir la dénouement de la Coupe du monde de football devanture à l’Angleterre.

Devant les caméras du monde absolu, Luis Rubiales avait dément la haut de Jennifer Hermoso puis les paire mains et l’avait embrassé instantanément sur les badigoinces, monsieur de la consentir diviser en lui donnant paire tapes comme le dos.

Très instantanément, ce attitude avait démarré des réactions outrées, le règle du football ibère se défendant en évoquant “un bisou de célébration entre deux amis” et en assurant que la joueuse trouvait consentante. Dans un instructive Netflix, la meilleure buteuse de l’série de la Roja confiera derrière bien pleuré subséquemment ce accolade.

L’affaire s’trouvait transformée emblée en un parabole de la conflit en échange de le misogynie comme le match et le hashtag #SeAcabo (“C’est terminé !”), lancé par les joueuses de la Roja, avait récit le cadence du monde. 

Avec AFP

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