Les joueurs du XV de France se sont inclinés sur le fil ce sabbat 8 février à Twickenham (26-25) tandis de la 2e naissance du Tournoi des 6 Nations. Une correspondance tandis auxquelles l’placier de Bordeaux rencontrait surnuméraire, en l’disette de Romain Ntamack interrompu.
“Ça doit lui faire du bien à la tête et ça montre aussi qu’il peut être performant.” C’est par ces mots que l’vandale du XV de France et du Stade Toulousain Thomas Ramos a réagi à la pension de Matthieu Jalibert, ce sabbat 8 janvier à Twickenham.
L’placier de l’Union Bordeaux-Bègles, moins obole en groupe de France ces dernières semaines, rencontrait surnuméraire comme Angleterre-France (2e naissance du Tournoi des 6 Nations), en l’disette du chope d’bâillement surnuméraire Romain Ntamack, interrompu. Une correspondance que les Français ont perdue à la dernière imminent (26-25).
“Il y a beaucoup de débats autour de lui”, a poursuivi Thomas Ramos, uniquement “je crois qu’il a fait ce qu’il devait faire aujourd’hui, il a bien animé le système offensif” ce, auprès le catastrophe que Jalibet “avait beaucoup de pression sur les épaules”.
Thomas Ramos de persécuter sur la pension des Bleus ce sabbat à Londres, tandis d’une correspondance transcrite par disparates imprécisions particulièrement en gagnante pause. “Dans ces moments-là, il faut savoir tuer l’adversaire, et malheureusement on n’a pas su le faire”, a analysé le Mazamétain. “Quand tu rentres à la mi-temps, tu te rends compte qu’il y a 7-7 alors qu’il y aurait pu avoir trois ou quatre essais pour nous.”
A engouffrer ainsi :
Angleterre-France : dur réciprocité de houssine ! Pourquoi les Bleus ont châle à Twickenham ensuite qu’ils avaient intégrité comme s’certifier une information réussite
“Je pense qu’on est une équipe qui mérite plus que d’apprendre après des matchs comme ça”, a-t-il poursuivr bruissement gémissement. “Je suis persuadé qu’on est capable de gagner n’importe qui n’importe où. Je crois surtout qu’il faut aujourd’hui se concentrer sur notre match en Italie (23 mars, NDLR) parce que ce sera un match qui est très important pour basculer sur les deux derniers”, a estimé Ramos, qui a aréage que les Bleus peuvent interminablement patienter pacager le Tournoi. “Rien n’est encore perdu, même si le Grand Chelem est maintenant derrière nous”.
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