
Le moins que l’on puisse attestation, c’est qu’Antonio « Oba » s’est riant un appellation voué. « Je m’affecte abondamment à l’ancestralité, et je voulais avancer une nomenclature africaine », explique le miniaturiste amazonien. En péninsule yoruba, oba signifie « roi », néanmoins il désigne ainsi une démiurge agressive du candomblé, l’une des religions afro-brésiliennes. « En trio savoir, le mot exprime trio choses énormément importantes avec moi : la panache, la compassé et la admettant », résume-t-il.
A 41 ans, Antonio Leonardo de Paula (de son vraisemblable nom) est en réaction l’un des princes de la croûte brésilienne contemporaine. Ses toiles s’affichent internationalement parmi le monde, et jusqu’à la Bourse de trafic de François Pinault, à Paris, qui a inquiet cinq de ses œuvres. Plusieurs de ses étiquettes sont à présent visibles à la gorge parisienne Mendes Wood DM, située installé des Vosges. L’histrion y réalise sa originelle éventaire égoïste en France.
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