Après un signalisation du émissaire LFI Aymeric Caron, inquisition honnête sur le paiement de documentaires de Bernard-Henri Lévy par Arte

l’caractéristique
Dans un carrosse adressé à la procureure de Paris le 5 février final, le émissaire dissipé avait dit flairer “une prise illégale d’intérêts” en relie alors les financements accordés par la bague au gouvernant de son originalité avertissement de espionnage. Arte et Bernard-Henri Lévy nient, de à elles côté, falot illégalité.

Le vital intéressé graille au “harcèlement”. En front, son belligérant dénonce des irrégularités. Une inquisition a été honnête sur le paiement des documentaires de Bernard-Henri Lévy par Arte France, verso des soupçons de résultat inégale d’intérêts. Cette recette acte conclusion à un signalisation du émissaire LFI Aymeric Caron, après que le mis en explication est gouvernant du avertissement de espionnage de la bague, rapporte l’AFP ce jeudi 13 février.

“Il semble qu’Aymeric Caron a franchi une nouvelle étape dans la campagne de harcèlement qu’il mène, depuis un certain temps, contre moi”, a réagi contre de Bernard-Henri Lévy, qui “compte porter plainte en dénonciation calomnieuse” quant à le émissaire.

L’inquisition a été confiée à la Direction régionale de la commissariat procédurier de la paroisse de commissariat de Paris, suivant la prélude accessible, confirmant une dépêche de Mediapart.

Aymeric Caron avait adressé le 5 février un passage 40 à la procureure de Paris, soupçonnant “une prise illégale d’intérêts” en relie alors “la régularité et l’importance des financements accordés par la chaîne au président de son propre conseil de surveillance”. Bernard-Henri Lévy, gouvernant du avertissement de espionnage d’Arte France depuis 1993, “a pu bénéficier, pendant ses 31 années de mandat, d’un soutien substantiel” de la bague “pour le financement de ses œuvres audiovisuelles et cinématographiques”, paradoxe “un montant cumulé de 750 000 euros” pénétré 2011 et 2022, loyale le émissaire entre son signalisation compulsé par l’AFP. Arte France a autant ininterrompu “pour un montant non précisé” son feuilleton “Le jour et la nuit” (1997) “et acquis en 2004 pour un montant de 68 700 euros les droits de diffusion du film ‘Bosna !’ dont M. Lévy fut le co-auteur et le coréalisateur”, ajoute-t-il.

“Conflit d’intérêts”

“Je n’ai aucune responsabilité dans le choix des programmes d’Arte. Je ne siège dans aucune des commissions qui choisissent les films qu’Arte diffuse ou produit. J’ai renoncé à toute rémunération pour les documentaires dont il est question et dont je suis l’auteur”, s’est évident Bernard Henri Lévy. “Le conseil de surveillance et son président n’ont aucune responsabilité ou prérogative éditoriale”, a réagi Arte contre de l’AFP. “Au vu des informations dont nous disposons, le processus habituel et collégial de sélection des programmes a bien été respecté par les instances éditoriales de la chaîne, concernant le soutien d’œuvres écrites ou réalisées par Bernard-Henri Lévy”, a-t-on additionnel, soulignant que “l’indépendance éditoriale d’Arte n'(avait) été affectée d’aucune façon”.

Dans un lien rusé sur l’audiovisuel assistant en octobre et compulsé par l’AFP, Aymeric Caron, indicateur, avait prononcé ces un couple de points de défiance, estimant particulièrement que le paiement de ses documentaires par Arte France soulevait “de fortes objections déontologiques”. “En acceptant de bénéficier, directement ou indirectement, d’un soutien financier d’Arte France” en autant que gouvernant du avertissement de espionnage de la bague, “M. Bernard-Henri Lévy a gravement manqué aux devoirs de sa charge et doit, pour ce motif quitter ses fonctions”, avait-il préconisé, attendu qu'”un conflit d’intérêts aussi patent ne saurait durer”.

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