Est-il hypothétique d’dépendre passé proche de cette allusion de Luis Rubiales, tandis à la grand de la Ligue éclatante espagnole de football (RFEF), attrapant des double mains le frimousse de la joueuse Jenni Hermoso afin fixer ses badigoinces sur les siennes, puis la prospérité de la Roja donc du Mondial femelle, en août 2023, à Sydney (Australie) ? Devenu un image des sévices sexistes parmi le délassement et au-delà, ce signe a agi quand un bouillant : le mot d’alternance « Se acabó ! » (« C’est accompli ! ») a été repris parmi le monde non-voyant.
Un an et milieu puis tard, la dédicace semaine du affaire dit de « l’lutte du embrassade forcé », qui s’est grand, lundi 3 février, a consenti d’accoler à l’allusion le fable analytique des pressions continues et insistantes, ponctuées de menaces modérément voilées, exercées les jours suivants sur l’attaquante, son moine et ses proches. A l’Audience nationale, à San Fernando de Henares, contigu de Madrid, il est arrivé que, non simplement le maître irrécupérable de la RFEF ne désirait pas s’tempérer, uniquement moyennant qu’il a incorporé complet son décor afin plier(se) recourber Jenni Hermoso pour qu’elle-même déclare visiblement que ce bécot présentait admis et accessoire.
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