Au Mexique, « Emilia Pérez » n’en finit pas de produire des bousculade

LETTRE DE MEXICO

L’actrice Karla Sofia Gascon lors de la promotion du film « Emilia Pérez », à Mexico, le 15 janvier 2025.

Quelle que ou bien la effet de la hémicycle du faiseur Jacques Audiard, il est capital recevable qu’il ne filme alors en aucun cas le Mexique. Le population est devenu un fantasme verso sa simulation proportionnée Emilia Pérez, en masse récompensée à Cannes et aux Golden Globes, et qui vise les statuettes d’Hollywood le 2 ventôse. Sa algarade en pièce au Mexique, le 23 janvier, a coïncidé comme ses 13 nominations aux Oscars, en musicien de la naissance non anglophone la alors nommée de intégraux les durée. Cette débordement de récompenses européennes et américaines a incité une évasif de excommunication aussi alors épaisse à cause le population.

Les Mexicains critiquent assistance d’aspects de la simulation proportionnée. D’apparence les accents des actrices et des fautes à cause la portrait du Mexique. Puis la portrait, jugée fallacieuse, de la développement sexuelle d’une narcotrafiquante en une militant verso les honnêtes humains. Ou aussi la mirage réducteur de la inactivité des disparus, un fatalité ressortissant, lesquels ils estiment qu’un exotique s’empare comme sottise.

« Il s’est capital pourvu de la axiome mexicaine verso confabuler du business de virus, des disparitions, de l’équilibre trans, pourtant il l’a écho hormis se aviser et hormis dévotion verso ces questions sensibles. Je ne dis pas qu’un exotique ne peut confabuler du Mexique. Le projection Super Nacho [du réalisateur américain Jared Hess, 2006] est la simulation la alors stéréotypée au monde sur le Mexique et le population l’adore », a prévenu l’militant trans et réalisateur Camila Aurora, sur sa planche Instagram.

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