“Aujourd’hui, l’entretien des routes coûte très cher”: les collectivités front aux mise de l’augmentation et du perturbation atmosphérique

l’caractéristique
Confrontées à l’alourdissement du accessit des matières premières et aux conséquences du perturbation atmosphérique, les collectivités consacrent un moyens graduel à l’audimat des routes. Face au avorté de rentrée, elles-mêmes appellent à une collaborateur limon de l’Bordereau. Exemple pour le Gers.

Si le tissage chauffeur se dégrade ces dernières années en France, avec le confirme le ressemblance annal de l’Observatoire habitant des routes (ONR) datant de 2023, ce n’est pas gaffe pile les collectivités d’y affecter un moyens insolent. C’est le cas pour le Gers, où “plus de 250 km sont rénovés chaque année, auxquels s’ajoutent les interventions ponctuelles telles que la réparation des glissements de terrain et la remise en état des ouvrages d’art”, avec le directe le exposé départemental du Gers.

A ronger comme :
VIDEO. “Au moindre freinage trop brusque, on finit par terre” : supplice d’un malchance, un puritanisme commissaire déplore l’facture de routes secondaires

Le contravention est d’aussi avec obsédant ces dernières années en intellection de l’augmentation, celle-là tenant produit une “hausse significative des coûts des matériaux et de la main-d’œuvre”, avec le souligne le Préfecture. “Cette augmentation pèse sur les capacités d’entretien de la collectivité et soulève, à l’échelle nationale, la question du financement des infrastructures, devenu un enjeu particulièrement d’actualité”, rejet le CD 32.

“Nos infrastructures sont mises à rude épreuve”

Président de l’Association des maires de France pour le Gers (AMF 32), Michel Baylac abonde : “Aujourd’hui, l’entretien des routes coûte très cher. Le tarif des matières premières a fortement augmenté. On n’a pas échappé à cette augmentation. Ce qu’on faisait avec 100 avant, il nous en faut aujourd’hui au moins 120 ou 130.”

Au-delà de l’augmentation, les collectivités du circonscription sont autant confrontées aux “contraintes environnementales spécifiques” qui malmènent le tissage chauffeur gersois. “Nos infrastructures sont mises à rude épreuve par plusieurs phénomènes naturels : les retraits et gonflement d’argile provoquent des fissures et fragilisant les chaussées ; les fortes pluies intensifient l’érosion, menaçant les talus et les accotements ; les glissements de terrain deviennent plus fréquents et plus graves, nécessitant d’importants travaux, avec un besoin de financement estimé à 3,5 millions d’euros pour 2025. Faute de moyens suffisants, certaines restrictions de circulation devront être mises en place pour garantir la sécurité des usagers”, indique le Préfecture.

Face aux difficultés rencontrées, les collectivités déplorent le avorté de accoudoir gestionnaire de l’Bordereau. “Il n’y a pas d’aides de la part des pouvoirs publics pour investir dans les routes, alors que cela fait partie des lignes obligatoires dans chaque budget annuel”, regrette Michel Baylac. “Des moyens supplémentaires doivent être alloués à l’échelle nationale, un nouveau modèle économique interrogeant les recettes générées par l’usage gratuit des routes doit voir le jour, pour faire face aux défis climatiques et assurer un réseau viable pour les années à venir”, exhorte le Préfecture.

Le fourche de Saint-Cricq sera rénové cet été

Les automobilistes qui l’empruntent régulièrement l’ont remarqué : le fourche de Saint-Cricq est à foison amalgamé par places. “Cet ouvrage présentait des désordres de surfaces classiques liés au vieillissement des enrobés accélérés par le cisaillement du trafic poids lourds soutenu sur cette section, indique le Département. Les dernières manifestations agricoles ont encore un peu plus marqué les dégradations. La réfection de l’ouvrage est programmée à l’été 2025 par une reprise intégrale de la couche de roulement et des équipements dégradés tels que les bordures.”

Comments are closed.