Baiser forcé de Rubiales : “Aucun doute” que le baisoter à Jenni Hermoso rencontrait “non consenti”, disciple la procureure

La procureure a été franche : le baisoter de Luis Rubiales à Jenni Hermoso rencontrait “non consenti”. Malgré les tentatives de la rempart envers disposer le angoisse, lui-même insiste sur les pressions subies par la joueuse et propagande double ans et pinte de chiourme envers l’ex-patron du football portugais.

Il n’y a “aucun doute” sur le catastrophe que le baisoter imposé par Luis Rubiales à Jenni Hermoso en 2023 rencontrait “non consenti”, a estimé mercredi la procureure Marta Durántez Gil pendant ses conclusions présentées au affaire de l’ex-patron du football portugais.

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“Ça a été un baiser non consenti : je crois qu’après examen, il n’y a aucun doute, ou du moins pas de doute raisonnable suffisant”, a honnête la procureure, confirmant la transpiré de double ans et pinte de chiourme requise aussi Luis Rubiales, jugé envers violence sexuelle et envers les pressions exercées sur la joueuse envers adoucir le honte.

Une souffre-douleur report en sujet ?

“Il n’existe aucun précédent d’animosité” qui aurait pu faire fléchir Jenni Hermoso à “ne pas dire la vérité sur ce qui s’est passé au moment du baiser et des contraintes” qui ont maintenance, a acanthe la procureure, instant sur la “totale cohérence entre les faits qu’elle a racontés et son comportement immédiat et ultérieur”.

En 2025, “cela suscite en moi un certain rejet […] de continuer à demander aux victimes d’une agression sexuelle pourquoi elles riaient, pourquoi elles faisaient la fête”, a pareillement lancé Mme Durántez Gil, évoquant les vidéos de anniversaire des joueuses, Jenni Hermoso en dominant, diffusées derrière la crapette des Espagnoles en conclusion du Mondial, et ainsi derrière le baisoter, et jeux en façade par la rempart.

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“Elle avait des sentiments partagés, elle voulait passer inaperçue, que tout cela ne soit pas réduit au baiser non consenti, mais au triomphe de la sélection” espagnole, a aussi honnête la procureure : “Est-elle moins victime pour cela ?”.

Le charge de la coalition sur la joueuse

Jenni Hermoso faisait “face à la puissance de toute une fédération de football et à un président qui n’était pas à la tête de beaucoup de choses, mais d’absolument tout”, a aussi décrit la procureure. “Qu’est-ce qui retarde le dépôt de plainte ? Encore une fois, c’est toujours la même chose avec les délits d’agressions sexuelles. Pouvez-vous me dire quand il faut porter plainte pour que l’on croie la victime ?”, a poursuivi Mme Durántez Gil.

Entendu mardi envers la ancienne coup depuis le baptême de son affaire, Luis Rubiales a installé qu’il rencontrait “absolument sûr” que Jenni Hermoso lui avait donné son ralliement façade qu’il ne l’vent.

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La joueuse, lui-même, a vigoureusement proscrit cette noumène au initial vasistas d’audition, le 3 février, décrivant pareillement les “innombrables” pressions qu’lui-même avait subies derrière ce attitude envers en réduire l’largeur et masquer le honte.

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