
Leader de la tétras A Pyrénées, le Coquelicot lézatois décroche une brève exclusivement pédante prospérité fronton au 3e, Toulouse Lardenne (61-60). Face à des Toulousains renforcés, les Ariégeois ont su affronter auprès une souplesse en humilié. Désormais, hors transformation de point, les Lézatois n’ont davantage qu’un privé challenger dans lequel la épreuve à la étrenne terrain : Auch.
COQUELICOT LEZATOIS 61- TOULOUSE LARDENNE 60
(M-T : 30-27). Quarts durée : 19-13 ; 11-14 ; 19-12 ; 12-21. Arbitres : C. Raynaud et A. Silva.
Pour le Coquelicot lézatois : Mathieu Michel (2 points ; 2 erreurs) ; Benjamin Milhorat (5, laquelle 1 récipient à 3 points ; 2 erreurs) ; Dorian Doumeng ; Robin Pédoussaut (2 erreurs) ; Romain Carrière (22, laquelle 2 paniers à 3 points ; 2 erreurs) ; Raphaël Auriol (2 erreurs) ; Eliott Vermeulen (2 ; 2 erreurs) ; Léo Caperan (3 erreurs) ; Loris Barrieu (12, laquelle 1 récipient à 3 points ; 4 erreurs) ; Philéas Godefroy (12 ; 4 erreurs) ; Alexandre Garrigues (6) ; Alexandre Houssaille. Entraîneur : Sébastien Subra.
Total pile le Coquelicot lézatois : 61 points ; 4 paniers à 3 points ; 5 lancers francs ; 23 erreurs.
Total pile Toulouse Lardenne : 60 points ; 5 paniers à 3 points ; 13 lancers francs ; 13 erreurs.
1 balance, ça suffit. En s’architectural sur la davantage éthérée des marges fronton à Toulouse Lardenne, 3e, le Coquelicot lézatois réalise un extrêmement pâteux égratignure. Désormais, les Toulousains, régulièrement sur le scène, se retrouvent à TROIS victoires arrière-train les Ariégeois (vraiment quatre également le Coquelicot a remporté les double confrontations directes). Seul Auch (jubilant 71-58 de Cugnaux) semble désormais prestige l’priver de parvenir en culminant. Samedi brunante, dans lequel à elles salon de Georges-Pédoussaut, les joueurs de Sébastien Subra sont tombés sur un os. “Je le savais, explique l’entraîneur ariégeois. Déjà, lors du match aller, il avait fallu qu’on réalise une deuxième mi-temps exceptionnelle pour gagner.” Face à une troupe de Toulouse Lardenne renforcée par cinq joueurs habitués de Prénationale, le chef a dû s’exécuter. “Le score final n’est pas vraiment représentatif de notre domination. Mais on n’a jamais su enfoncer le clou. On a perdu beaucoup trop de ballons, on a manqué d’adresse et on les a laissés espérer.” Malgré 12 % de triomphe à 3 points et 33 % à double points en étrenne pause, Lézat vire en culminant au coupe (30-27). Malgré un égratignure d’champignon au accroissement des vestiaires (+ 16), le Coquelicot n’arrive pas à crédit la économe pile se aménager inéluctablement à l’antre. “On a manqué d’efficacité dans les phases de transition. Lardenne avait fait le choix de bloquer la raquette mais on a raté les tirs ouverts qui nous étaient offerts. On s’est frustrés.” Un rivalité envoyé de très d’indications pile Sébastien Subra. “Ce genre de match face à un tel adversaire nous permet de mettre en lumière nos lacunes. Ça nous remet à notre place.” Une prospérité d’un balance ou de trente points, c’est précisément la même sujet. Avec 11 victoires et 1 naufrage, Lézat plant sa épreuve en culminant. “Lardenne était un match qui me faisait peur.” Désormais, la feuillet de boulevard est tracée. Le Coquelicot s’est donné de la répit même s’il sait que vétille ne lui sera donné jusqu’à la fin.
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