
Les abats de l’conformité “Tous pour un Ehpad à Brusque” continuent à elles recrutement en espérant sauvegarder l’fondation menacé de barrière à l’perspective 2025-2026.
Cette fois-ci, les abats de l’conformité “Tous pour un Ehpad à Brusque” ont décidé de amener le occupation auprès la barrière de l’fondation à un contraire stade. En créant une symposium de ardeur à Rodez, ils espèrent aussi embrigader au-delà du Sud Aveyron car, identique l’a scandé Jean Milési, bourgmestre de Mélagues, brute la alors au sud du diocèse et fermement attaché à cet Ehpad : “ Il faut que cette partie du département soit traitée sur un pied d’égalité, ce qui n’est pas toujours le cas. “
Ils entendent aussi bougonner auprès la barrière de l’Ehpad lequel les 30 lits devraient convenir redéployés, d’ici une paire de traitement, lyrisme les établissements de Belmont, de Camarès ou plus de Saint-Sernin. Une barrière énergique par le Diocèse qui envisagé que “cet établissement, qui n’a pas eu la capacité de se moderniser à temps, se retrouve aujourd’hui dans un bâtiment totalement inadapté aux besoins de résidents très âgés et très dépendants”.
Un attente envers l’Ehpad ?
Le Diocèse assure “avoir mis en place une étude pour envisager toutes les possibilités de modernisation, de reconstruction, d’extension… Mais cette étude a conclu qu’un tel retard a été pris que la situation du bâtiment est très dégradée. Il est la propriété d’une congrégation religieuse qui souhaite le vendre”.
Pourtant, les abats de l’conformité “Tous pour un Ehpad à Brusque” assurent “avoir présenté un projet qui permettrait de maintenir les résidents sur le site”. “Mais il a été balayé d’un revers de main”, déplorent-ils. Jean-François Majorel, dirigeant de l’conformité, regrette encore l’carence de allégation envers treize des trente lits. “La plupart des résidents sont du coin, et ils seraient complètement perdus s’ils venaient à changer d’endroit. Chacun a un attachement personnel à cet établissement. Surtout, cela va supprimer des emplois au village et autour. Les salariés sont angoissés par cette situation.”
“Il a été proposé une solution d’habitat inclusif mais cela ne correspond pas vraiment aux besoins des résidents, avancent les membres du collectif qui entendent également informer d’autres élus, au-delà du département, de la situation. Des résidents vont se retrouver à la rue, avec des familles dans le désarroi.”
En attendant d’enlever bénéfice de renseignement, les abats du général comptent amener la porte-parole des résidents de l’Ehpad de Brusque. “Il y a la place pour une autre solution que la fermeture, chacun doit pouvoir l’entendre”, martèlent-ils.
Comments are closed.