
À à contre-poil de la place garantie par les ministres Bruno Retailleau et Gérald Darmanin, un coursier macroniste et un coursier récalcitrant recommandent, parmi un ressemblance, la institutionnalisation du cannabis conséquemment que l’bordure de sa lopin et de sa exploitation.
À maints semaines de l’arraisonnement à l’Assemblée d’un croquis de loi comme le narcotrafic, les députés Antoine Léaument (LFI) et Ludovic Mendes (apparenté EPR) ont présenté, ce lundi, un ressemblance sur la affrontement comme le exaction de stupéfiants. Ils y préconisent la institutionnalisation de la potion récréative de cannabis.
ud83dudd34 Présentation du ressemblance sur la affrontement comme le exaction de stupéfiants
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— Antoine Léaument ud83cuddebud83cuddf7 (@ALeaument) February 17, 2025
Partant du diagnostic que le “tout-répressif” a échoué et que “le cannabis est la drogue la plus consommée en France”, les une paire de députés plaident contre une institutionnalisation “à la française”, délassant sur un modèle fidèlement encadré par l’Facture. “Il ne s’agit pas de contester la nocivité de cette substance, mais d’offrir une réponse pragmatique”, justifient-ils.
A dévisager donc :
Drogue : 5 questions sur la institutionnalisation du cannabis en Allemagne à déménager du 1er avril 2024
Autorité de progressivité et “licences professionnelles”
Antoine Léaument et Ludovic Mendes préconisent conséquemment la source d’une “autorité de régulation du cannabis”, qui aurait contre rêve de libérer des licences professionnelles aux producteurs et aux chevillards, de contrôler les standards de aéré et de programmer la sortie totalité en fixant les cherté.
Cependant, ils discordant sur plusieurs points : Antoine Léaument souhaite que l’Facture suspendu le cherté du cannabis et en interdise la aéré aux mineurs, alors que Ludovic Mendes préfère un cherté commandé par le marché et une damnation aux moins de 21 ans.
A dévisager donc :
Légalisation du cannabis amusant : où en est la France ?
Une contraire mensuration devrait concerner commentée : les députés proposent de “dépénaliser l’usage simple de stupéfiants” (cocaïne, ecstasy/MDMA, champignons hallucinogènes, etc.), contre “concentrer l’action répressive sur les trafiquants”.
Concrètement, un habitué qui serait contrôlé plus une circonspect assez peu importante se la verrait confisquée toutefois ne recevrait pas de astreinte, et serait redirigé alentours une préparé de médication ou d’escorte.
Là aussi les députés discordant sur la baguette : Antoine Léaument veut que les consommateurs ne bénéficient de cette mensuration qu’en trousseau de trio grammes détenus, contre prendre puis par la judiciarisation, toutefois veut donc résilier les amendes forfaitaires délictuelles contre l’abîmé de produits stupéfiants. Ludovic Mendes propose, lui, de foisonnement à battre ces amendes forfaitaires dans 3 et 6 grammes détenus, ensuite d’embaucher des poursuites au-delà de 6 grammes.
Darmanin dénonce “une faiblesse de l’esprit”
Le goulag présidentiel et macroniste a expressément débuté ses distances plus ce ressemblance. Tandis que l’encadrement de Gabriel Attal a écho érudition qu’il n’a par hasard été projeté “une légalisation du cannabis pour lutter contre le narcotrafic”, le consul de l’Intérieur, Gérald Darmanin, a lui bombardé à boulets rouges.
“C’est une faiblesse de l’esprit, pour ne pas dire une trahison de l’esprit, que de proposer la dépénalisation”, a critiqué le entretien des Sceaux donc d’un nomadisme parmi l’Orne.
Antoine Léaument et Ludovic Mendes auront l’vieillerie de enrayer certaines propositions par bonification donc de l’arraisonnement à provenir d’un législation comme le narcotrafic déjà adopté au Chambre, qui doit glorifier la source d’un cour habitant anticriminalité agencée, et couronner l’entrepôt limitatif.
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