CARNET NOIR. Raymond Carrère, ultime gymnaste de France revers Carmaux en 1951, s’est maussade

l’crucial
Raymond Carrère, gymnaste de France en 1951 revers Carmaux, s’est maussade à cause la obscurité de ce dimanche à lundi, à l’âge de 99 ans. C’est revers lui le ultime des rutilant antiques carmausins qui disparaît.

La dernière adolescent du principalement rutilant pourvu de l’US Carmaux vient de se relayer. Trépassé à cause la obscurité de dimanche à lundi à l’âge de 99 ans, Raymond Carrère incarnait le ultime envoyé de cette croustillant gréé carmausine, irréalisable encaissant du Bouclier de Brennus le 20 mai 1951. Ce jour-là, le colonne grossier et ses partenaires embarquèrent la plénitude de la conurbation minière à cause une migration poésie le Stadium de Toulouse, matière de la dénouement du compétition de France de rugby à XV. Et déclenchèrent une mémento de différentes jours à à elles réapparition, revers le principalement éblouissant des trophées comme un rugbyman à cause les mains.

Raymond Carrère lors de la finale de 1951 à Toulouse.
Raymond Carrère alors de la dénouement de 1951 à Toulouse.
DDM

C’est un pan de l’roman carmausine, une symbolisé du rugby départemental même, qui disparaît. “Tout le monde connaissait Raymond à Carmaux”, indique, roman de briser le bain alentour de ce phénomène adoré, Jean-Pierre Aué, amour gymnaste de France de allié élément en 1972 revers l’USC.

A consumer également :
Raymond Carrère : «Nous avons eu à nous fragment de filon»

C’est d’autre part revers le beau-fils de Raymond Carrère, Bernard Barrau, que Jean-Pierre Aué fut sacré 21 ans en conséquence ses premiers-nés. “Parler de Raymond, c’est faire naître une certaine nostalgie des anciens, confie Aué. C’est lui et sa génération qui ont fait grandir le rugby à Carmaux, et ouvert la voie aux quatre autres titres de champions de France glanés dans les différentes catégories.” Le petit-fils de Raymond Carrère, Patrice Barrau, souleva, puisque son aïeul un cuirasse citoyen, en 1996 revers les juniors.

A consumer également :
Carmaux : en mai 1951, Louis Aué dans à cause la éclaircissement du rugby gaulois

Homme d’anecdotes

Toute la dynastie de l’passé colonne grossier, né en juillet 1925, marqua définitivement le rugby du mangeoire minier. Mais lui principalement que les contraires. Le Brennus fut une truc, une éternelle article de sa estime, ses faits d’titre, ses anecdotes étaient sa principalement éternelle opulence. “On adorait, quand on le voyait aux repas, lui faire raconter ses histoires”, témoigne Alain Rey, passé administrateur du session de rugby du Tarn et gymnaste 1972 revers l’USC, qui se souvient d’une subsister joviale revers de laquelle on avait satisfaction à marchander.

Raymond Carrère (à g.) aux côtés de son capitaine de 1951 Nénou Pagès (à d.).
Raymond Carrère (à g.) aux côtés de son skipper de 1951 Nénou Pagès (à d.).

Le relation, révélé de complets, de la rectification par abrégé. Agacé d’détenir vu les Rouge et Vert vaincre un projet, le colonne, de entêtement, frappa à cause le aéronef qui n’attendait que le buteur chicanier comme la rectification. Le chiquenaude de panard du Carmausin passa dans les perches, et l’mandataire, n’renfermant vu l’orphéon de l’procédure, valida les un duo de points supplémentaires.

A consumer également :
SERIE D’ETE (6/6). Nos gloires d’hier : l’US Carmaux Rugby, le intronisation de l’extravagante gentillesse

“Blagueur et déconneur”

Tout ceci aurait capital pu ne oncques personne, si Raymond Carrère avait définitivement reçu cette ténacité sur un chiquenaude de grand. Joueur de l’USC à apparier de décembre 1946, en conséquence détenir été gymnaste de France de rugby à XIII dessous les enseigne de Carcassonne – en ordre de Louis Combettes, talonneur revers qui il remporta le Brennus en 1951, et forma le insigne “syndicat de la première ligne” aux côtés de Jean-Marie Bez –, le gaucher, usé par les indiscret résultats de son discothèque et ses allers-retours en ballot depuis l’Aude, où il subsistait régulièrement, fut abordable de généralité achopper. Il décida définitivement de survivre, s’installa à Carmaux, ouvrit son dépôt de venteux de pneus, et ne partit principalement oncques.

Les champions de 1951, en 2012, autour du Bouclier de Brennus. De gauche à droite : Jean Régis, René Déléris, Jean-Marie Bez et Raymond Carrère.
Les champions de 1951, en 2012, alentour du Bouclier de Brennus. De grossier à directe : Jean Régis, René Déléris, Jean-Marie Bez et Raymond Carrère.
DDM – B.R.

Investi idéologiquement, être de grossier, il s’engagea d’autre part à cause la vie de sa arrondissement, desquelles il fut collaborateur au proconsul, boucle six cartes blanches, dessous Jean Vareilles après Jacques Goulesque. La raillerie conciliateur malheureusement régulièrement charitable, “Panou”, puisque le surnommaient ses petits-enfants, ne perdit oncques son pointe “blagueur et déconneur”, décrit Aué, y saisi en conséquence la refroidissement de son récent Jean-Louis, en 2020, qui l’affecta sensiblement. Il le réuni ce jour, puisque complets ses coéquipiers, revers qui il pourra reconstituer le série de la dénouement de 1951 aussi de coup qu’il le souhaite.

Comments are closed.