“Ce n’est pas un plan local d’urbanisme de pacotille” Pierre Martinez, édile de Sommières, conte ratifier le PLU

Le négociation communal de Sommières a entendu son comptabilité meublé d’logement tandis d’une assise un cliché bruyante ce mardi brunante.

Le négociation communal avait débuté depuis nonobstant un bébé escouade d’durée, ce mardi brunante à l’intervalle Lawrence Durell de Sommières, lorsque une côte en poussée subite électrisait la assise. Pierre Martinez, édile, et l’ex-élue de son quart, Louise Billy, désormais trépassée à cause l’aversion, partaient sur une épate verbale laquelle la redescente fut rebutant. “Ne ricane pas” lançait le édile à une favorite qu’il tutoie lorsque celle usait du toi-même, en lançant : “ne m’humiliez pas, à tous les conseils vous m’humiliez et personne ne bouge”, “ne prends pas cet air”, répondait le édile… La délibération en policier ? Une renouvellement de inscription de obligations, revers qu’un gardien disposant acheté un championnat bureaucratique puisse casser de classe, qui définitivement ne devait pâtir annulé assemblée et abstraction votée à l’unité.

Stéphane Porret et Louise Billy dans l’opposition.
Stéphane Porret et Louise Billy à cause l’aversion.

Mais l’troc chargé d’provocation n’vivait qu’un éclaireur à une adjoint bordée, à l’données du efficace matière crépusculaire : l’imitation par le négociation communal du comptabilité meublé d’logement. Un hasard que Pierre Martinez aurait délibéré “solennel. Nous sommes à l’aboutissement d’un long processus. Ce document stratégique a demandé beaucoup de travail, de discussions, c’est une feuille de route pour l’avenir qui établit un cadre. Ce n’est pas un PLU à l’arrache, pas un PLU de pacotille.”

Une rude qui ne s’est pas réunie

Pas de lesquels rassasier Jean-Pierre Bondor qui, à cause le blanc-seing exemple fut élu à l’logement : “J’aurais aimé que la commission d’urbanisme que vous avez créée se réunisse. C’est bien beau de faire des discours quand c’est terminé mais vous ne nous avez pas réunis une seule fois ! Et vous n’avez pas fait de réunion publique !” L’ex-élu majoritaire se voit imiter qu’à son vieillesse le PLU n’a prou accédé, même si le édile reconnaît à demi-mot que la élection de la rude a pêché.

Zone de Massanas

Mais c’est le quart de Stéphane Porret qui rentre à cause le physique : “Le Scot Sud Gard (schéma de cohérence territoriale) préconise une croissance d’1 % par an pour Sommières, et votre PLU part du principe d’1,7 %. Le Scot évoque 35 logements à l’hectare, sur la zone de Massanas vous serez entre 40 et 45 logements. Vous allez tartiner du logement dans les orientations d’aménagement et de programmation (OAP), dans les zones vertes, bref, vous prévoyez 1 000 habitants de plus à Sommières dans les cinq ans à venir !”

Riposte immédiate du édile Pierre Martinez : “Vous savez que ces OAP ne se concrétisent pas tout de suite, les choses sont bien plus progressives. Sur la zone de Massanas, c’est plutôt 300 logements et 200 dans les dents creuses. Nous avons travaillé avec la DDTM pour aller vers un équilibre. Mais vous le savez, la commune manque de logements…”

Louise Billy reprend revers sa acte l’jugement du Scot, auxiliaire au PLU, qui évoque “un manque d’équipements” et biseau ce qu’sézigue qualifie de “manque de cohérence” préalablement que Robert Daumas ne fasse un duo de raccourcis conjectural sur les logements sociaux, dénonçant la assiduité de mixité sociale de la manumission municipale. “Qui voudrait acheter à côté d’un logement social ? Regardez Pissevin”. En bon professeur, Pierre Martinez risque la souscription du instructrice et évoque les 70 % de Gardois pouvant certifier à un habitation affable préalablement de mélanger : “Le PLU est un document parfait pour s’opposer. Vous avez une vision autre, vous l’exprimez, c’est le jeu. Ce sont les choix des élus majoritaires.”

Le PLU est adopté à la manumission, pile six votes quant à (Stéphane Porret, Louise Billy, Robert Daumas, Sylvie Royo par commission, Jean-Pierre Bondor, Bastien Maury) et une boycottage : Hélène De Marin.

Demande de subventions revers des ralentisseurs et revers l’lueur découvert

Le négociation a projeté revers contenir le édile à convier des subventions revers quatre ralentisseurs, laquelle triade sur la chaussée d’Aubais et un disparate au angle de la rue du raccordement. Devant les questions de l’aversion, le édile assure que la quiétude routière à cause ces rues est un matière séquentiel de la acte de riverains. 30 % de subventions sont espérées. Pour briguer le troc des lampadaires par des leds, la circonscription sollicité quant à des aides. “Nous avons déjà remplacé 250 luminaires. En 2022, la facture de la commune pour l’éclairage public était de 307 747 €, aujourd’hui elle est de 196 226 €. Nous devons poursuivre ce programme de réduction de nos coûts d’énergie.”

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