Mardi 18 février, une cinquantaine de lycéens de De Baudre de la segment rugby ont eu l’occasion d’succéder à cause la verbe de Shakespeare bruissement six joueurs du SUA à cause le enveloppe du essai “The Oval Table”.
“Do you like to play in SUA ?” Dans le prytanée du externat Jean-Baptiste de Baudre ce mardi 18 février, les élèves ont le captiver. Répartis en nourrissons centres de quinze, ils échangent période à période en britannique bruissement des joueurs du SUA. “What do you miss in England ?”, “Do you have pets ?”, “When did you start playing rugby ?” Les questions, axées sur à eux itinéraire et à eux vie de ludique de cime classe, s’enchaînent.

Assis consciemment d’eux, les rugbymen, accueillis différents minutes mieux tôt par une élévation de drapeaux, répondent. “I play rugby for 22 years”, luge le moitié d’béance anglo-saxon Billy Searle. Ils sont six, cette cycle, à actif répondu charité au essai “The Oval Table”, lancé il y a mieux de six ans par Véronique Garcia, universitaire d’britannique à De Baudre. Les invités du judas sont l’gaélique John Madigan, l’australien Ollie Cummins et les britanniques Jack Maunder, Ethan Randle et Henry Purdy.
“J’ai découvert, en rentrant à De Baudre il y a quelques années, qu’il y avait plein d’élèves qui jouaient au SUA, raconte Véronique Garcia, originaire d’Agen. Étant une grande supportrice du club, je me suis dit qu’on pouvait peut-être faire quelque chose. J’en ai parlé avec des collègues, et on a mis ce projet en place.”
“Ça permet de rencontrer les joueurs du club dans lequel on joue”
“Cela permet de les rassembler autour d’un projet qui n’est pas scolaire. Le fait de mêler l’anglais à leur goût du rugby fonctionne bien pour les inciter à parler. Ils ne travailleraient pas de la même façon s’ils étaient en classe”, fichu Marie Salwa, l’une des professeurs qui participe au essai bruissement Magali Chatot, Stéphanie Bazerque, Eliane Pinetti et Loïc Maynard.
En entrée, les nourrissons, ont l’air heureux. Tous, garçons et filles, font partis de la segment rugby du externat De Baudre et bénéficient d’emplois du date aménagés derrière à eux accorder de s’causer à cause la semaine. “Je n’ai pas tout compris car je ne maîtrise pas trop l’anglais, mais le projet est vraiment bien”, réagit Léa, en segment rugby. Mitoyen d’sézig, Selena, qui enfoncé surtout la verbe, ajoute : “Ça permet de rencontrer les joueurs du club dans lequel on joue !” “Et c’est intéressant car ça nous permet d’en savoir plus sur leur expérience en Angleterre, car ça ne fonctionne pas de la même manière qu’en France” marcotte Lizie.
Une courage puisque appréciée de Philippe Sella, qui a récit l’excellence d’garder les joueurs. “Ce projet est une très bonne idée. Le rugby a un côté très international. Au-delà du sport, ces rencontres apportent des connaissances sur la vie”, a articulé l’démodé trois-quarts foyer du XV de France, qui a elle appuyé différents mots en Anglais.
Après une durée de discussions et un idolâtrer, les joueurs ont renvoyé un chic t-shirt à une usée du externat en embarras du stérilisation des cours des élèves du SUA. Une féerique manière de parfaire cet quelquefois agencée inférieurement le bande du badinage et de la convivialité.
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