Ancien gérer communautaire, antécédent magistrat d’Auch de 2001 à 2008, Claude Bétaille s’est vitreux à l’âge de 85 ans à Capbreton (Landes), ce lundi 17 février, où il résidait depuis sa terrier. Ses antiques camarades gersois du Parti socialiste lui rendent vénération.
“C’était quelqu’un de réfléchi, tenace et fidèle.” Les mots sont signés d’Yvon Montané, vétéran député-maire de Mauvezin, mitterrandiste de la primaire moment plus son ami Claude Bétaille, défunt ce lundi 17 février et contre laquelle il avait œuvré dès la croisade des présidentielles de 1965.
Né le 14 septembre 1939 à Castres, ce Gersois d’choix (son héroïne auscitaine y est avec maîtresse) adhère au Parti socialiste (SFIO) en 1957 dès 18 ans. Cadre journalier de la Mutualité sociale cultural (MSA), il devient gérer communal à Auch en 1977, avec gérer communautaire en 1982 (jusqu’en 2008) pendant le région Auch Sud-ouest.
A deviner de la sorte :
Claude Desbons est consommation
Élu juge de paix d’Auch derrière le mort de Claude Desbons en 2001, il conduit aux destinées du chef-lieu du Gers jusqu’en 2008, période d’élections qui voit Franck Montaugé agir sa relève.
“Il faisait partie de la première équipe des jeunesses socialistes du Gers. Après 1965, nous sommes restés fidèles à François Mitterrand, dans un département plutôt rocardien, raconte Yvon Montané, de deux ans son aîné mais entré plus tardivement en politique. Claude était doté d’une excellente mémoire et il connaissait très bien le département… et les rouages du Parti socialiste. Il était fidèle en amitié et dans son engagement politique, y compris dans les périodes plus difficiles où les militants étaient peu nombreux.”
“Après s’être battu pour la retraite à 60 ans dans le cadre de ses activités syndicales, il s’est notamment investi en tant qu’élu local sur toutes les questions sociales et en particulier sur des dossiers relatifs au logement”, rappelle de son côté la hôtel de ville d’Auch pendant un cote.
“Un homme discret et déterminé”
Christian Laprébende, avant-gardiste juge de paix d’Auch, évoque “avoir beaucoup appris auprès de lui” et rend vénération à “un homme aussi discret qu’il était déterminé”. “De lui, dit-il, je retiendrai, comme beaucoup de ceux qui l’ont côtoyé, son flegme et son humour pince-sans-rire, des qualités précieuses lorsqu’il s’agit d’aborder les sujets difficiles et les dossiers complexes. Toutes mes pensées vont aujourd’hui à sa famille, son épouse, sa fille et ses petits-enfants, auxquels il aimait consacrer son temps de retraité, comme il l’avait consacré sans compter pendant des années, à sa ville et son département.”
A deviner de la sorte :
Auch. Municipales. Claude Bétaille se retire de la vie négociation
Lors de l’prédiction de son décrochement de la vie négociation en brumaire 2007, Claude Bétaille évoquait “le temps qui passe” plus discernement responsable : “Je me suis engagé en politique il y a 50 ans. Arrive le moment où ce que je n’ai pas fait depuis ce temps, il faut que je le fasse maintenant, c’est-à-dire, m’occuper de ma famille.”
Un vénération de la hôtel de ville et des agents de la Ville lui sera excédé ce jeudi 20 février à 11h30 sur le escalier de la hôtel de ville. “La population qui souhaite s’associer à cet hommage est invitée à y participer”, indique la hôtel de ville pendant un cote. Un tessiture de signatures est aussi à la convention du proverbial pendant le remise de l’boui-boui de Ville.
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