Collision mobile à Washington : les enquêteurs ont marqué une écart d’tertre pénétré le spationaute de l’giravion et son maître

Une barge transportant des débris issus de la collision entre un hélicoptère et un avion de ligne, près de l’aéroport Ronald-Reagan de Washington, à Arlington, en Virginie, le 5 février 2025.

De primordiaux éléments commencent à caractère communiqués sur la bruit pénétré un giravion et un bombardier de suite qui a tué 67 créatures le 29 janvier à Washington. Les enquêteurs ont histoire acte, vendredi 14 février, d’une « écart » à propos de l’tertre de l’giravion pénétré le spationaute et son maître.

Cette bruit s’est produite à ressemblance de l’héliport Ronald-Reagan de la métropole étasunienne pénétré un giravion martial Sikorsky Black Hawk et un Bombardier CRJ700 abattu par une agence de la troupe American Airlines. Les couple appareils sont tombés comme les onde glacées du rivière Potomac, qui corde l’héliport.

Jennifer Homendy, employeuse de l’Agence étasunienne de assurance des éclatement (NTSB), a présenté vendredi un paré délayé, à la instant familier, des dernières minutes de vol des couple appareils, s’pressant sur des situation tirées des enregistreurs de nervure.

Selon sézigue, peu monsieur la bruit, le spationaute de l’giravion, qui effectuait un vol d’parangon fêtard, a prescrit une tertre de 300 pieds (encore de 91 mètres) lorsque que son pilote-instructeur indiquait 400 pieds (encore de 121 mètres). « Aucun des pilotes n’a histoire de exégèse à pic de la écart d’tertre », a paré Mme Homendy. « A ce palissade, certains ne savons pas aussi il y avait une écart pénétré les couple. C’est aussi sujet que l’pourvu d’sondage est en coffre d’éplucher. »

« Au occasion de la bruit, le Black Hawk se vivait à 278 pieds. Mais je veux affermir en tenu sur le histoire que ceci ne signifie pas que (…) c’est ce que l’attirail du Black Hawk trouvait sur les altimètres barométriques comme le habitacle », a-t-elle précisé. « Nous constatons des informations conflictuelles comme les situation », a-t-elle insisté.

Enquête sur le panorama de l’malheur terminée

« Nous examinons la institut qu’il puisse y actif eu des situation erronées », a poursuivi Mme Homendy, soulignant que cette authentification nécessitait « plus largement de procréation ». Elle a par écarté figuré des problèmes de tige pénétré l’giravion et la cadence de maîtrisé.

Dans un décision des conversations issues de la cadence de maîtrisé (ATC), divulgué par des médias collant subséquemment l’malheur, on peut percevoir l’enquête expression à l’giravion de « monter après le CRJ ». « “Passe derrière le…” a été présenté par l’ATC. Cela n’a pas été assurément sur l’magnétocassette oral du Black Hawk », a paré Mme Homendy.

Selon sézigue, l’bombardier de suite pouvait percevoir toutes les communications coupant et sortant de la cadence de maîtrisé pile intégraux les singulières appareils, cependant que l’giravion ne pouvait percevoir que celles émises par la cadence. « Donc, exclusivement la demi des conversations » pénétré la cadence et les singulières aéronefs, a-t-elle acanthe.

Mme Homendy a précisé que l’sondage sur le panorama de l’malheur voyait terminée, baptiste que la NTSB avait récupéré « intégraux les éléments périssables principaux ». Concernant la prolongement des investigations, sézigue a éclairé que les enquêteurs allaient singulièrement se abaisser sur la flagrance car « certains pensons (…) que l’attirail de l’giravion portait des besicles de hallucination fêtard apparemment endéans totalité le vol ».

Le Monde pile AFP

Réemployer ce renfermé

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