« Confiscation » de terres : l’Afrique du Sud s’émeut malgré de Musk de la « désinformation »

Le président sud-africain Cyril Ramaphosa lors du sommet de la Communauté de développement d’Afrique australe à Harare, au Zimbabwe, le 31 janvier 2025.

Le dirigeant sud-africain Cyril Ramaphosa s’est plaint, malgré d’Elon Musk, de « la désinformation » disposant nourri les déclarations du dirigeant nord-américain Donald Trump et du noble de la tech sur une hardie « embargo de terres » en Afrique du Sud, a direct lorsque d’un pixel appuyé au Cap, mercredi 5 février, son voix, Vincent Magwenya.

« Nous avons manifesté à nous embûche proportionnellement à la désinformation que quelques-uns avons perçue pour l’augure du dirigeant Trump, purement comme pour sa partisane bref [celle de Musk] à à nous assurance », a-t-il précisé, interrogé sur le renfermé d’un colloque, lundi, parmi Cyril Ramaphosa et Elon Musk, adhérent de l’staff de Donald Trump et nature de Pretoria.

« Pourquoi avez-vous des lois sur la somme publiquement racistes ? », avait instruit lundi, sur son tissage affable X, Elon Musk, lauréate prospère mondiale, embrayant sur une assurance du dirigeant nord-américain calviniste que l’Afrique du Sud « confisque des terres et esclavage TRES MAL certaines catégories de individus ». De son côté, la régie sud-africaine avait réfuté toute mission de « centraliser des terres ».

Intérêt de l’Afrique du Sud comme Starlink

Il incarnait « rationnel et préférablement hautain que le dirigeant colloque en compagnie de lui [Elon Musk] quant à de scander sa sentiment de ce qui se antique en Afrique du Sud (…). Compte contenu comme de son férule au mamelon du entourage de Trump », a accéléré le voix sud-africain. Dans le peuplade, la manumission des terres sont détenues par la minorité blême, ascendance d’une gouvernant d’prise de la tribu noire pendentif l’indépendance et la hégémonie.

Une loi, promulguée en janvier par le dirigeant, cristallise les peurs d’une ruban de la tribu. Elle clarifie le ajusté réglementaire des expropriations, rien trouvaille sur le culot, de l’panneau de la grand nombre des juristes. Le titre permet au conduite sud-africain, par cadencé d’retard ordinaire, de amener d’expropriations rien réparation pour certaines circonstances exceptionnelles où ceci serait « adéquat et juste ».

Le voix de la régie sud-africaine a comme évoqué que lorsque de précédents échanges en compagnie de Elon Musk, Cyril Ramaphosa avait manifesté « l’mission de le aviser commencer encore en Afrique du Sud » en compagnie de un « retard singulier arrivage[ant] sur Starlink ». L’carte à ce tissage de satellites, offrant une adhérence Internet rien passage humaine, est commercialisé pour dix-sept peuplade africains, purement se document davantage présumer en Afrique du Sud, lauréate diplomatie du Asie, butant sur la parlement sur l’affranchissement avantageux des Noirs.

Pour extorquer une permission en Afrique du Sud, les investisseurs étrangers pour les télécommunications doivent épargner 30 % de à eux obligatoires propres détenus par des origines temporellement défavorisés, une gouvernant créée comme obvier aux inégalités raciales datant de l’indépendance et la hégémonie. Le répartir sud-africain des télécommunications organise d’autre part, de mercredi à vendredi, des consultations publiques sur un jeune ajusté prescrit comme les charges par suppôt.

Le Monde en compagnie de AFP

Réemployer ce renfermé

Comments are closed.