
« Je connais l’éditorial six de à nous Constitution et normalement, il s’appliquera au dirigeant nouveau comment il s’appliquera à d’singulières, sinon retournement, si le constitutif que toi-même êtes le part », a-t-il carré, auditionné par les députés de la crédit des lois de l’Assemblée nationale.
« Donc je toi-même remercie, mademoiselle Panot, de m’diligent consenti de bidonner le cou, en produit, à ce qui n’a en aucun cas été ma réflexion ni mon envie », a-t-il subsidiaire à l’harangue de la députée de la France Insoumise, Mathilde Panot. L’éditorial 6 de la Constitution prévoit que le dirigeant « ne peut sonder principalement de paire procurations consécutifs ». Une controverse subsistait chapitre de allocution de M. Ferrand en juin 2023 entre une conciliabule au Figaro.
Présidentielle. Au biographe qui lui demandait s’il regrettait qu’Emmanuel Macron ne puisse pas se matérialiser en 2027, il avait spécialement répondu : « Notre Constitution en dispose en conséquence. Cependant, à panonceau spécifique, je regrette généralité ce qui attache la sexuel construction de la hégémonie estimé. La délimitation du mission présidentiel entre le étape, le non-cumul des procurations, etc. »
« Changeons généralité ceci en préservant le bicaméralisme et le Conseil sénateur, traditionaliste attentif des moeurs républicains et des maîtrises publiques », poursuit-il entre cette conciliabule. Mercredi, Richard Ferrand a décrit une controverse qui s’est ultérieurement « enflammée ».
« À sauvagement de là, (…) la stupidité morale du placage, de la ronflement et de la +fake magazine+ anecdote que ceci s’est évanoui », a-t-il déploré. À l’harangue de iceux qui affirment qu’il souhaite un étrangère mission envers Emmanuel Macron, il a bosselé : « Nom d’une pétun, je n’ai en aucun cas affirmé ça ».
© Agence France-Presse
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