C’est un duplex facture loge, « déracinement skis au semis », en compagnie de galerie cathédrale et levée orientée soûl sud donnant sur les pentes de Méribel, aux Allues (Savoie). Dans ce rayonnant résidence de 265 mètres carrés, on déambule de la pâté confiante aux cinq tribunaux en compagnie de beaucoup de salles de bains, en frayé par le hammam, le galerie télé et la sketch des gamins, où quelque lit étagé dispose de son partisane fermeture gravé parmi le mur. Au plain-pied, les résidents ont apparition à une douche de 25 mètres de vaste et à un spa en compagnie de galerie de cryothérapie.
Voiturier, domestique, hangar personnelle revers simuler son concret, masseuses, esthéticiennes et nounous à génie… Dans la « ski room », du exclusif vous-même privilégié à prendre vos chaussures, conservées parmi des casiers chauffants. « On organise itou la publication de rejetons déjeuners, et l’on peut agissant parvenir des chefs revers concerter les menu », explique Albane Tourlière, du quart immobilier Vallat.
Bienvenue à Antarès, une toit de 55 appartements de éclat, fabriquée par Vallat à la emploi d’un révolu Club Med. Pour simuler le duplex de 265 mètres carrés, il faut supputer 20 000 euros la semaine cet hibernation. D’divergentes appartements sont un peu encore rejetons ; le cloyère entremise est de 17 000 euros par semaine, cautionné le Savoyard Joffray Vallat, chef du quart du même nom.
Loin d’personne une excentricité, Antarès est significatif de ces authentiques chalets et résidences qui sortent de Amériques parmi les encore hautes stations de ski françaises. En bizarre parmi les « Big Five » (Val-d’Isère, Méribel, Courchevel en Savoie, Megève et Chamonix en Haute-Savoie) et les plusieurs stations qui connaissent depuis une vingtaine d’années une dense ascension en série : l’Alpe-d’Huez en Isère, Tignes, La Rosière et Val-Thorens en Savoie…
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