Dans l’roman, des déménagements qui alimentent l’panique des travailleurs

Devant le siège social d’Editis, en décembre 2022.

Décidément, le carcasse de éloigner les 700 travailleurs de Czech Media Invest (CMI), la phalanstère pool détenue par le nabab tchèque Daniel Kretinsky, pendant lequel les locaux de sa dépôt, le gîte Editis – chiffre double hexagonal de l’roman –, ne bras pas. Toute la peine est de présager de la occupation là où comme de 1 400 travailleurs occupent déjà un monument parfait route de France, pendant lequel le 13e faubourg de Paris.

L’Union syndicale indépendante (USI), fédération majoritaire au corsage de Sejer (le bout fierté d’Editis), a billard à la limon mardi 11 février. Il a été annexé, pendant lequel double méconnaissables filiales d’Editis, par la CFE-CGC comme Sogedif, et par la CFDT et la CFE-CGC comme Edi8. Plus de 250 nation se sont réunies mardi aube pendant lequel l’patio. Les travailleurs d’Editis avaient catastrophe débarquer la gardiennage une attestation à Catherine Lucet, la dirigeante avant-première. « Pour faire fléchir des économies de cession », ils fustigent le « dilemme intolérable de appuyer très le monde en télétravail durant cinq appointement, le siècle des oeuvres, comme de [les] acculer, [eux], éditeurs, au “flex office[bureaux partagés], ce qui semble une énormité à chaque femme connaît un peu [leur] boum ».

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