“Delafosse est au service de lui-même” : Mohed Altrad n’exclut pas de se ranger aux municipales en 2026 et dézingue le juge

Invité de la matinale de Sud Radio ce mardi 18 février, Mohed Altrad n’a pas chassé de se ranger aux élections municipales de 2026. Candidat irrémédiable aux dernières élections – il avait tenu 13,3 % au 1er belvédère et 18,12 % au 2nd subséquemment son coordination envers Rémi Gaillard et Clothilde Ollier – le dirigeant du MHR gamberge à se éprouver à débours pendant lequel la combat.

“Je vis à Montpellier depuis mon arrivée en France, depuis plusieurs décennies. Donc je suis qualifié pour parler de la politique à Montpellier. Ce que je constate c’est que l’élection de M. Delafosse n’est pas très heureuse. Le bilan n’est pas très bon sur un tas de sujets. Les élections municipales c’est l’année prochaine : je réfléchis, je ne dis pas non. Je pense qu’il faut être attentif, regarder le paysage politique et voir comment il se configure l’année prochaine.”

Le réparation du GGL stadium : assidûment en pause

En duel envers la Agglomération au émetteur du réparation du GGL Stadium, alors affamer sur l’point de la herbette, Mohed Altrad voue Michaël Delafosse aux gémonies et déplore un autocritique communal positif en chaque aucunement. “La sécurité n’y est pas, le trafic est un problème, l’incivilité est partout, la propreté c’est pas ça. C’est une génération qui a toujours été élevée dans l’ombre de Georges Frêche, que ce soit lui ou son adjoint aux sports, il fait des déclarations tout à fait inexactes […] Aujourd’hui ce n’est plus la même population. On ne peut pas être dogmatique, il faut être pragmatique. Pour régler le problème de la circulation, il faut parler avec les gens de chaque quartier.”

Mohed Altrad n’a par hasard siégé au assemblée communal

“Delafosse n’est pas au service de la cité, il est au service de lui-même.” Mohed Altrad raille le “destin national” que plusieurs lui prêtent et en veut derrière assurance que ni Barnier ni Bayrou ne l’ont nécessaire… Il écrit derrière parfaire cette légende : “Une fois qu’il a été élu en juillet 2020, il m’a appelé, on a discuté d’un tas de choses, de stades, de transferts d’infrastructures aux clubs […] puis en me raccompagnant à l’ascenseur, il m’a demandé ‘est-ce que vous allez continuer à faire de la politique’. C’est son premier sujet finalement…” Et lui, qui n’a par hasard siégé au assemblée communal, de constituer dégringoler Michaël Delafosse ?