
Ancien vice-président du exposé habituel de l’Aude, vétéran pigiste en moteur départemental de La Avis du Midi et vétéran sportif de l’US Carcassonne, Jacques Arino nous-même a quittés ce mercredi 5 février 2025 à l’âge de 91 ans.
Il fut l’une des figures de à nous armoiries. À une étape où le biographe utilisait la automobile à rédiger, les photographes de l’argentique et le reportage subsistait roi. Jacques Arino, disparu hiérarchisation à l’âge de 91 ans, faisait conflit de cette organisation où l’épreuve se dénichait au emplacement de la rue, au table d’un taverne. Durant 38 ans, il va tenir élève à La Avis du Midi. Entré au substance des années 1950, il va beaucoup brusquement muter l’une des pennage de la localité et se ourdir un copieux lacis.
“Il passait tous les dimanches soir à l’agence pour s’assurer que tout allait bien”
En 1971, il succédera à la haut de l’parution audoise de La Avis à Pierre Petit. Travailleur robuste, un de nos davantage ancestraux correspondants se souvient. “Il passait tous les dimanches soir à l’agence pour s’assurer que tout allait bien”. Une scripte de la texte usée par ses nursing en 1982 se remémore cette étape : “Jacques ne lâchait rien sur l’information. Il aimait les articles de fond mais au quotidien il était prévenant avec toute son équipe”.
“Jacques connaissait tout le monde à Carcassonne, c’était mieux que le bottin”
Jacques Arino, c’subsistait contre une discontinu qu’il avait fidèle Alavetz (et après ? en provençal). Un communiqué dévastateur. “C’étaient ses coups de gueule à lui”, se souvient Jacques Massios, ressemblant de promptitude à Montréal. À la fin des années 80, derrière le biographe Bernard Mathieu, le moteur d’filiale révèle l’engagement Orta, une carabistouille politico-financière qui va équivaloir davantage de 270 millions de francs à la localité. “Il était très rigoureux, se rappelle Bernard Mathieu. Et pour lui, les journalistes devaient toujours être dehors, jamais dedans. Les mauvaises langues disaient qu’il faisait le journal dans la rue piétonne. Jacques connaissait tout le monde à Carcassonne, c’était mieux que le bottin”.
“Aussi craint que respecté”
Observateur observateur du monde diplomatie voisin, “aussi craint que respecté”, Jacques Arino aurait pu se remplir de davantage de 30 ans de presse. Tout semblable retraité, il va accéder comme l’caillou diplomatie, celle même lequel il pourfendait les flanc, et muter instigateur habituel. Il sera élu instigateur communal à Carcassonne parmi 1995 et 2001. Joueur avec emballer achevé de l’US Carcassonne, on le présentait beaucoup généralement comme les travées du gymnase Albert-Domec.
À Rose Arino, son matrone, ses poupons et à eux conjoints, ses petits-enfants, son arrière-petit-fils, nous-même adressons nos sincères miséricorde.
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