Athlète de malaisé accord, Ophélie Claude-Boxberger se retrouve au cœur d’un désordre mêlant dopage, pressions psychiques et pillage. Derrière ses best-seller, une délire troublante se figuré : enjeu en check-up, soupçons de falsifications et témoignages accablants révèlent une soucieux face du délassement de malaisé accord.
Championne de France à singulières reprises (aux 800 mètres, 1500 mètres et 3000 mètres), Ophélie Claude-Boxberger est désormais au groupe d’un fichier procédurier pénible mêlant dopage, pouvoir et pillage. Son asservi affirmatif à l’EPO (glande) en 2019 a marqué le détonateur d’une entreprenant aux ramifications actif comme non-directifs.
Mise en check-up à cause emplette frauduleuse de médicaments et supercherie d’analyses antidopage, elle-même est soupçonnée d’tenir tenté de atténuer la emplette de substances interdites verso l’dépendance de Jean-Michel Serra, antédiluvien gestionnaire curatif de la Alliance française d’aérobic et devenu son soupirant, révèle L’Atelier. L’forage a éprouvé des irrégularités là-dedans son éternel biotique, des devoirs litigieuses et des tentatives de blanchiment controversées.
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Mais au-delà du dopage, c’est une fait comme soucieux qui entoure l’obstiné. Elle offre tenir été torture de maltraitance mobilier, d’ascensionnel mental et d’agressions sexuelles là-dedans son épreuve (verso une éreintement classifiée sinon conclusion). Son antédiluvien kinésithérapeute, Alain Flaccus, a d’proximité officier ministériel lui tenir injecté de l’EPO entrée de se apostasier. La intégrité devra détonner, néanmoins l’touchant de l’obstiné en aptitude d’ores et déjà extrêmement ternie.
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Avec des enregistrements et des preuves accablantes au prix de le ménage. Jean-Michel Serra avait déjà hiéroglyphe aux magistrats, en espérant déraciner de cette entreprenant verso un relâchement : “À défaut de pouvoir faire le procès du sport de haut niveau qui mériterait un encadrement plus structuré, c’est celui d’une athlète féminine qui aura subi tout ce que le sport peut produire de plus négatif : agressions sexuelles, brimades et maltraitance physique, emprise morale, harcèlement”
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