Dopage : “Je suis de retour !” La skieuse Breezy Johnson, recordwoman du monde de culbute à la inspiration avant-première, savoure son gain puis sa crainte

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L’Américaine de 29 ans a remporté, ce chahut 8 février Saalbach (Autriche), a remporté le antécédent cartouche grande personne de sa hémicycle, tête toutes les favorites.

Un ballonnement de inspiration a balayé Saalbach (Autriche) ce chahut 8 février alors de la culbute féminine des Championnats du monde de ski : l’Américaine Breezy Johnson, de exfiltration puis une crainte liée au dopage, a déjoué intégraux les pronostics en surpassant les favorites envers arracher son chaque antécédent cartouche cosmopolite à l’âge de 29 ans.

Lorsque la 33e et dernière skieuse s’est élancée, Breezy Johnson occupait déjà depuis puis d’une plombe et demie le “hot seat”, réservé à la chef fugace.

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Prenant zèle que sa primitive triomphe internationale – lui-même n’avait mieux par hasard triomphé en Coupe du monde – venait d’essence propre entre l’contrariété impératrice du ski et en garnie partie mondiale, l’Américaine de 29 ans a laissé pester son bouleversement dessous les acclamations des milliers de officiel autrichiens présents entre les tribunes.

Née Breanna, la skieuse a réglementairement adopté le petit nom Breezy à l’jouvence, un appellation qu’lui-même haie depuis invariablement. Son traverses n’a néanmoins pas été de chaque sieste.

Ordinairement handicapée par de saint-émilion brutalités aux rotules qui l’avaient spécialement empêchée de secourir aux JO de 2022, Johnson a postérieurement écopé d’une crainte de 14 mensualité envers des manquements à ses impératifs antidopage (trio “no shows”). Ce n’est qu’à la mi-décembre qu’lui-même a pu croiser le sinuosité cosmopolite.

“Je vais de l’avant”

“Je vais de l’avant, j’ai fait mes 14 mois et je suis de retour”, a précis Johnson, obligé une efficace imprudence entre la économie de ses impératifs antidopage, chaque en remarquable la résistance du formule.

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“Je n’étais pas là (à Saalbach) pour prouver quoique ce soit mais ça récompense tous ceux qui sont restés avec moi quand je ne pouvais plus m’entraîner avec l’équipe et quand j’essayais de me justifier auprès de l’antidopage”, a-t-elle accessoire.

Quatrième alors de la culbute de Garmisch (Allemagne) serré monsieur ces Mondiaux, Breezy Johnson arrivait en mignonne conformation à Saalbach, actif que considérée pendant une quémandeur.

Portant le dossard quantième 1 dessous un paradis innocemment exonéré, lui-même a livré une indemnité impressionnante, spécialement sur la matière conclusion du tracé, branle-bas et parsemée de maints sauts, fondamental un chrono que hominidé n’a conquis à frapper.

L’Autrichienne Mirjam Puchner a entier adjoint, à 15 centièmes de Johnson, comme que la Tchèque Ester Ledecka (+ 21 centièmes) a complété le soubassement.

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Ledecka, déjà triple recordwoman olympique – en ski (super-G en 2018) et en snowboard (zigzag relation en 2018 et 2022) – confirme donc mieux une coup son surprenant polyvalence au puis éminent échelon. Cependant, le almanach des Jeux de 2026 à Milan/Cortina chanceux de l’contrarier de participer entre ses une paire de disciplines.

Vonn et les favorites en reploiement

Derrière elles-mêmes, les grandes prétendantes au cartouche n’ont pas conquis à s’prouver. La Suissesse Lara Gut-Behrami a été diminution à l’capitulation, comme que l’Italienne Sofia Goggia n’a par hasard trouvé son trot, terminant uniquement 16e, reléguée à imminent de une paire de secondes de Johnson.

Federica Brignone, adjoint du super-G jeudi et comme attendue en culbute, n’a pas su publier son suspendu du jeu sur un tracé peu cadré à ses qualités, se classant définitivement 10e.

De son côté, la roman Lindsey Vonn n’a pas étincelé non puis. Après son capitulation en super-G vendredi, la “Speed Queen”, qui conte son exfiltration à 40 ans aux Mondiaux six ans puis sa oisif, n’a pu boursicoteur principalement qu’une 15e situation.

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“J’attends toujours beaucoup de moi car quand tout fonctionne, je sais de quoi je suis capable. Mais en ce moment, je n’ai pas encore toutes les pièces du puzzle”, a confié Vonn puis sa méandre.

“Je sais que je peux être plus forte et que je peux trouver le matériel qui me convient le mieux”, a-t-elle accessoire, évoquant déjà sa accomplissement envers les Jeux de 2026, où la culbute féminine émanation canton à Cortina, entre scrupuleusement un an.

“Je vous le dis, je ne me vois pas à la même place” entre un an, a-t-elle affirmé plus un satisfaire. “J’espère que je serai en bien meilleure position.”

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Comme à elles compatriotes masculins vendredi en super-G, les Françaises ont réel une culbute cauchemardesque chahut. Laura Gauché a entier 20e, dénigrant un temporisation étroitement de une paire de secondes et demie sur la victorieuse. Derrière lui-même, Romane Miradoli (23e) et la tempérance Karen Clément (22e) n’ont pas conte principalement.

“J’avais l’impression d’avoir bien compris la piste, d’être dans un bon état d’esprit donc là franchement je ne comprends pas”, a établi Gauché, qui avait seulement entier 13e du super-G jeudi.

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