Dopage : la coalition internationale de cyclisme arrêt « l’inspiration dense » du monoxyde de reproduction

David Lappartient, le président français de l’Union cycliste internationale, à Zurich (Suisse), le 28 septembre 2024.

Pour tronquer succinct à une contestation qui agite un plaisir lentement gangrené par le dopage, l’Union poursuiteur internationale (UCI) a décidé, chahut, de expatrier l’inspiration dense de monoxyde de reproduction à déménager du 10 février.

Empêché à Arras hors champ des Mondiaux de cross cyclo-pédestre à Liévin (Pas-de-Calais), le séance manageur de l’UCI « a accepté l’condamnation de l’inspiration dense de monoxyde de reproduction (CO) », a expédient l’requête comme un billet.

Son gouvernant, le Français David Lappartient, a salué « une emplacement hardie et boîte ». « Notre avantage est de blinder la disposition et la confiance de nos athlètes, et la définition d’aujourd’hui est un dépense pas méprisant comme cette protection », a-t-il acanthe.

Mesurer les bienfaits des entraînements en sommet

La critiqué sur l’manipulation de monoxyde de reproduction est née lorsque du Tour de France 2024, ensuite la parution d’un recherche du média spécialisé Escape Collective. Il indiquait qu’au moins triade équipes, lesquels UAE de Tadej Pogacar et Visma de Jonas Vingegaard, avaient eu mobilisation à un recycleur de ce gaz fade et hâve majeur de peuplé accidents domestiques.

Interrogés par la multitude pendeloque le Tour, Vingegaard et Pogacar en avaient indiscutable l’manipulation, intégrité en dédramatisant l’occupé. « Il n’y a contretype de timide », avait attaché le précurseur, pressé sur le coïncidence que le errements servait exclusivement à des fins de tests moyennant stérer les bienfaits sur l’faculté des entraînements en sommet.

Malgré intégrité, changées acteurs du plaisir (le Mouvement moyennant un cyclisme vrai, des patrons d’pourvu, comment Marc Madiot, et des coureurs, lesquels Jonas Vingegaard, comme une entretien au Monde) ont poussé l’UCI à employer emplacement sur la tourment.

Samedi, l’UCI a entendu que le monoxyde de reproduction réalisait « souvent exploité en médicament sportive moyennant stérer la réuni complète d’cruor (Hb) et le fascicule rubicond, surtout moyennant comparer les défroque de l’canon d’souffle et de l’illumination à l’sommet sur la qualité de batellerie de l’oxygène ». « Cependant, a annexé l’requête, son inspiration dense peut engager des problèmes de disposition aigus et revues, comment des douleurs de mine, une coma, des nausées, des vertiges et de la fusionne. Ces symptômes peuvent s’empirer à intégrité période et mouvement en insurrection du ordre cardiaque, crises d’mal sacré, paralysies et pertes de assiduité. »

Une logique pas irrégulière moyennant l’Agence mondiale antidopage

Dès lorsque, l’UCI a décidé d’entraver aux licenciés et aux équipes « la emprisonnement, en aspect d’une architecture médicale, de systèmes de “re-breathing” [réinspiration] de CO disponibles comme le exportation et reliés à des bouteilles d’oxygène et de CO ».

« L’inspiration de CO restera certifiée au gorge d’une architecture médicale et au-dessous la obligation d’un spécialiste de disposition réalisé comme la influence de ce gaz à des fins médicales, et correctement aux sécheresse suivantes : individuelle une inspiration de CO permettant de stérer la réuni complète d’Hb sera certifiée. Une aide inspiration de CO ne sera certifiée que couple semaines ensuite la dimension majuscule de l’Hb. » Toute inspiration devra contre créature enregistrée comme le liquette thérapeutique indéniable moyennant quelque courageux.

Cette condamnation est indépendante du Code astral antidopage et du Charte antidopage de l’UCI, comme la logique n’est pas irrégulière aux mirettes de l’Agence mondiale antidopage (AMA). La coalition internationale de cyclisme a pourtant demandé à l’AMA de employer emplacement sur la tourment et espère qu’elle-même lui emboîtera le pas.

Reprendre ce appartement

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